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Première rencontre de 2024 : les Portails de l'Imaginaire

Actualité mise à jour après la tenue de l’évènement (à Mouscron), le samedi 3 février me concernant !
L'occasion pour moi de rencontrer pour la première fois de ma vie et de ma "carrière" Christelle Dabos et Cindy van Wilder Zanetti, avec en prime une table ronde passionnante en leur compagnie !

C'était aussi la première fois que les gens peuvent s'asseoir en face de moi pour les dédicaces, ce qui m’a un peu donné l’impression de jouer les médecins. Et je ne reviendrai pas non plus sur l'odeur de gaufre qui flottait un peu partout.
Encore merci pour l'invitation !

D’autres dates arrivent pour ce semestre, dont une toujours en Belgique…

Ecriture et traduction, le bilan 2023 !

Il était temps !

Traduction :
2023 devait rester une année blanche en traduction, après la fin d’une aventure très compliquée en 2022 (j’y reviendrais peut-être en détail, un jour...) et surtout pour m’occuper de ma fille.
Mais puisque l’on a sollicité directement mes services et qu’il s’agissait d’un éditeur avec qui j’ai déjà beaucoup travaillé, je n’ai pas su dire non.
Résultat, une traduction presque reposante, avec une maison réellement bienveillante.

Ecriture :
Que dire de cette année ? Si l’on m’avait annoncé en janvier qu’Himilce passerait dans 20 Minutes ou La Croix, ou bien encore décrocherait un prix littéraire et serait réimprimé si vite, j’aurais signé des deux mains !
Et comme en plus, Célestopol 1922 a visiblement réussi son atterrissage en poche, je n’ai guère de regrets. Mais on ne se refait pas, j’en nourris malgré tout.

J’aurais aimé que certains lecteurs n’aient pas peur du terme “historique” dans “Fantasy historique” ou au contraire que les amatrices et amateurs d’Histoire le découvrent plus largement, car beaucoup parmi eux, classement en librairie oblige, ne sont même pas au courant de son existence.
Et bien sûr qu’Argyll ait droit à davantage de reconnaissance, même si les choses avancent très vite pour mon éditeur, et c’est largement mérité.
Une chose est sûre, je ne sais toujours pas ce qui fait que tel ou tel roman a tout de suite droit à beaucoup plus d’échos que les autres sur les réseaux. Ce n’est pas toujours qu’une affaire de moyens promotionnels même si plus l’éditeur est puissant, mieux on est servi, dans un milieu hautement concurrentiel qui tient encore beaucoup aux étiquettes. Et pourtant, à titre personnel, je crois m'être démené pour cette sortie ! Souvenez-vous de ma série de vidéos sur Carthage.
Encore faut-il derrière que la sauce prenne, évidemment. Et même si je pense avoir fait mes preuves depuis 2016 et mon premier roman, je crois aussi que des rendez-vous ont été manqués, que ce soit avec Himilce, Célestopol ou même La Piste des Cendres sorti en plein Covid. Dommage pour moi... et, peut-être, pour certains d’entre nous/vous.
En espérant vous convaincre en 2024 !

Ma nouvelle pour l'Ukraine en promotion pour les fêtes

Pour les fêtes de fin d'année, Ammuin karhua retrouve son prix d'origine, de deux euros seulement !
Ce texte se déroule dans l’univers de Célestopol mais peut être lu même si vous n’êtes encore jamais allés faire un tour sur la Lune avec moi.


L'action de cette histoire se déroule à Célestopol en 1923.
Irina et Anna sont toutes les deux vendeuses aux Galeries Sabline. En apparence, tout semble les opposer. Alors que, comme souvent, les rumeurs courent en ville, cette fois-ci au sujet de la possible nomination d'un Patriarche, la jeune Irina, au passé trouble, pourrait bien renouer avec ce dernier.

Le lien vers la nouvelle à acheter.

Un club de lecture... Célestopol !

On écrit tout de même avant tout pour partager.
Et quelle meilleure façon de partager justement ses lectures que dans le cadre d'un club ? Il y a quelques mois, j'ai été contacté par le CDI du lycée Thomas Masaryk à Vouziers (dans les Ardennes), qui souhaitait organiser un club de lecture chez les élèves, autour de Célestopol (et Célestopol 1922).
Depuis un certain temps, l'adjectif "lunaire" ressort un peu partout, à tort et à travers, mais c'est peu dire qu'un club de lecture lunaire, c'est tout de même la grande classe !
Plus sérieusement, c'est une grande première pour moi, même si je sais que des passages issus de certains de mes ouvrages se sont déjà retrouvés face à des étudiants. Mais réunir des lycéens autour de ces deux recueils, pouvoir également, je l'espère, échanger avec eux... Je m'en réjouis d'avance et je dois bien admettre que je me sens à la fois touché et surtout anxieux de leurs retours !
Alors, en attendant, chers membres du club, bon voyage à Célestopol !
Je sais déjà qu’ils ont commencé par la nouvelle "Face cachée"...

Pour une traduction humaine

Hier, j'ai relayé sur mes réseaux sociaux l'initiative du collectif En Chair et en os.
Son but est simple : lutter contre la prolifération du recours aux IA dans les traductions. Eh oui, les IA ne servent pas qu'à obtenir des dessins ou maintenant créer des morceaux de musique à partir d'une simple phrase.

Je cite le manifeste du collectif, auquel je souscris à 100%.

Entendons-nous bien : que l'on puisse commander une bière dans toutes les langues du monde grâce à son téléphone ou qu'il existe des dictionnaires en ligne par exemple, c'est très bien. Ce n'est certainement pas moi qui vais m'en plaindre. Tout va plus vite, d'un clic. Mais il y a un monde entre proposer ce qu'offre un dictionnaire papier, et encore, rarement dans le détail pour des domaines bien spécifiques, et remplacer l'âme de la traductrice/du traducteur.

Ne l’oublions pas.