Hier, j'ai relayé sur mes réseaux sociaux l'initiative du collectif En Chair et en os.
Son but est simple : lutter contre la prolifération du recours aux IA dans les traductions. Eh oui, les IA ne servent pas qu'à obtenir des dessins ou maintenant créer des morceaux de musique à partir d'une simple phrase.
Je cite le manifeste du collectif, auquel je souscris à 100%.
Entendons-nous bien : que l'on puisse commander une bière dans toutes les langues du monde grâce à son téléphone ou qu'il existe des dictionnaires en ligne par exemple, c'est très bien. Ce n'est certainement pas moi qui vais m'en plaindre. Tout va plus vite, d'un clic. Mais il y a un monde entre proposer ce qu'offre un dictionnaire papier, et encore, rarement dans le détail pour des domaines bien spécifiques, et remplacer l'âme de la traductrice/du traducteur.
Ne l’oublions pas.