Pour commencer : merci !
J’ai été prévenu hier midi que c’était donc mon roman qui avait remporté le prix catégorie “Public” de cette récompense saluant “une œuvre de fiction traitant de l'archéologie ou de la figure de l'archéologue et se démarquant par ses qualités en tant que création”. Et il est certain que pour tenter de faire renaître Carthage, je n’ai pas lésiné sur les recherches.
Ce n’est que la deuxième fois que je décroche un prix, après le prix Révélation des Futuriales en 2018, déjà (pour le premier Célestopol), alors, croyez-moi, je ne risque pas de me sentir blasé. Si les prix n’ont jamais bâti la carrière d’un ouvrage, à part évidemment un Goncourt, voir Himilce se distinguer me fait particulièrement chaud au cœur, étant donné que tout n’a pas été facile dans son parcours. Je ne sais pas si cet ouvrage “obtiendra” plus dans les mois qui viennent, mais d’autres l’auraient probablement mérité par le passé, en toute subjectivité. Encore faut-il toutefois se retrouver sélectionné, et ça… c’est déjà tout un parcours du combattant.
Avec le prix des Futuriales, j’avais succédé à Romain Lucazeau, cette fois-ci, à Jean-Philippe Jaworski. Des noms bien connus et célébrés dans la sphère Imaginaire et face auxquels j’espère ne pas trop faire tache.
Mais, trêve de bavardages : je tiens à remercier toutes celles et ceux qui ont donné leur voix à mon roman, l’organisation du prix, les éditions Argyll bien sûr, et ce n’est certainement pas aujourd’hui que je vais oublier de saluer le travail et le soutien de Justine Breton !