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Entre deux textes à rendre - 13

Le dernier "numéro" de cette rubrique remontait à juin... 
Au programme cette fois : musique, ciné et littérature. 

Brand New - Science Fiction :
Le cinquième album du groupe - après des années d'absence - a surgi sans crier gare dans le courant du mois d'août... et quelle claque. 
Il s'agit clairement de leur travail le plus dense jusqu'à maintenant et sans aucun doute le plus ambitieux par ailleurs, du moins selon votre serviteur. Et comment ne pas écouter "Can't Get It Out" en boucle, période de spleen ou pas ? 
 

 

 

Little Evil :
Énième long-métrage produit par Netflix (c'est que l'on commence à en avoir l'habitude désormais), signé du réalisateur du loufoque Tucker & Dale Fightent le Mal, Eli Craig, resté bien discret depuis quelques temps lui aussi... On se retrouve là avec une parodie des films à ranger dans la catégorie "Mon fils n'est autre que le fils du Démon". Un peu plus malin qu'il n'y paraît de prime abord, le film n'est en revanche pas bien méchant, mais reste porté par un cast sympathique, Adam Scott en tête. Mais c'est du vite vu, vite oublié !


 

 

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Of Cats and Men :
Un ouvrage illustré pour le moins original, qui présente des hommes célèbres et leur relation avec les chats. De Freddie Mercury à Winston Churchill en passant par Jean Cocteau ou Nikola Tesla, le joli livre de Sam Kalda (un artiste travaillant notamment pour The Wall Street Journal ou le New York Times) constitue un magnifique cadeau d'anniversaire pour les amoureux des chats !

Tout est plus beau, avec des dinos !

Ça ira mieux demain paraît-il. 

En attendant le mois prochain, je vous signale rapidement la parution le 14 septembre du tome 2 de la saga Guerre & Dinosaures de Victor Milan, intitulé... Guerre & Dinosaures II (en même temps que l'arrivée du premier en poche chez Pocket, le "hasard" fait bien les choses). 

Et pour celles et ceux qui hésiteraient encore à se lancer en redoutant par exemple que la traduction du cycle soit interrompue, sachez que je vais signer pour le tome 3, tout juste sorti en anglais. 

Et maintenant, je retourne écrire/traduire ! 

Entre deux textes à rendre - 12 !

Previously on...
Retour de cette "rubrique" sur le site alors que je me retrouve justement plongé entre écriture et traduction !
Mais il faut bien savoir souffler de temps en temps. 
 

GLOW : 

Une énième production Netflix dont on commence mine de rien à se lasser, à l'image d'un Girlboss loin d'être inoubliable ? Non ! Glow est avant tout une histoire d'amitié(s), enrobée sous les strass et les néons des années 80 et du milieu du catch. 
Avec ses personnages farfelus mais pas que, et ses performances redoutables notamment de la part d'Alison Brie ou Marc Maron (bon, fidèle à lui-même pour ceux qui connaissent le bonhomme), Glow se suit avec un plaisir jubilatoire le temps de ses 10 épisodes, et pas seulement pour rire et se détendre, au bout du compte. 


 

 

Fighting Methods and Combat Experience of the Civil War :

Oui, j'ai vraiment des lectures très fun, n'est-ce pas ? 
Tout est dans le titre d'ailleurs. 
Mais c'est pour la bonne cause, alors... 

 

 

 

 


 

Royal Blood - How Did We Get So Dark? 

Mine de rien, il se sera fait attendre, mais le deuxième album du duo anglais Royal Blood est enfin disponible ! On ne va pas se mentir, je l'écoute plus ou moins en boucle depuis huit jours. J'y ai retrouvé tout ce que j'avais aimé dans le premier - les riffs lourds et accrocheurs, le poids de la batterie, des textes assez évocateurs mine de rien - et plus encore. 
More of the same, certes, mais là encore, pas seulement. En tout cas, la formule semble raffinée jusqu'au point de rupture (logique d'employer ce mot d'ailleurs, vu la teneur des textes)...  

Un week-end à Célestopol : que faire ? Que voir ?

Chers visiteurs et amateurs de voyage !

Vous avez à peine le temps d'un aller-retour sur la Lune en traversier-obus pour profiter de votre fin de semaine ?

En attendant notre prochain guide à destination de Cérès, ne vous inquiétez pas ! Notre agence est là pour vous conseiller et rendre inoubliable votre séjour à Célestopol, comme il se doit de chaque visite au sein de la fabuleuse cité lunaire.  

On ne vous présente évidemment plus ses canaux où coule un sélénium brumeux et mordoré, ses coupoles vert-de-gris, ses ponts de marbre et ses arcades aux cafés feutrés...

Place à un tour d'horizon un peu plus détaillé de ce qui vous attend au cours de votre villégiature !

 


Envie d'histoire et de culture ? 

- Le Cosmodrome :
Premier contact avec la cité, c'est une étape indispensable, mais pas seulement pour récupérer votre malle en camphrier ou faire signer vos papiers. Le cosmodrome de Célestopol laisse admirer son architecture très métallique et notamment les magnifiques verrières de sa grande nef. C'est aussi l'occasion de croiser pour la première fois les armoiries de la ville présentant la devise de la cité, instaurée par le duc Nikolaï, Oderint Dum Metuant.
"Qu'ils nous haïssent pourvu qu'ils nous craignent", une citation de l'empereur romain Caligula. 

- La tour d'horloge Saint-Basile :  
Comment ne pas vouloir grimper jusqu'au sommet ? Construite à l'occasion de l'inauguration de la ville en 1851, c'est son monument le plus en vue et le plus connu. Souvent comparée à Big Ben, ou plus justement à la tour horloge du Palais de Westminster, Saint-Basile la domine largement, de plus de trente mètres. C'est le bâtiment le plus élevé de toute la cité, et de loin, là encore. En réalité, Saint-Basile se rapproche davantage - dans ses mécanismes en rapport direct avec l'horlogerie en tout cas - de l'horloge astronomique de Prague. 

- La forteresse Saint-Paul : 
Dominant le canal de l'Amirauté, l'imposante structure ne se visite pas à proprement parler. Ou alors, c'est que votre séjour à Célestopol aura bien mal tourné. Evidemment, il s'agit du centre névralgique des forces armées de la cité. Sur une note plus légère, la forteresse héberge aussi la célèbre Brigade des chats, félins à l'origine introduits à Célestopol pour faire la chasse aux rongeurs. Ceux-ci ont disparu depuis longtemps, mais la brigade a perduré et le duc décore même certains de ses fiers représentants félins, le 17 mars. Les membre de la brigade possèdent d'ailleurs leur propre entrée dans la forteresse (à leur taille, n'espérez pas l'emprunter...), encadrée par deux statues de bronze à leur effigie. 

- Le palais ducal :
Rarement ouvert au public, sa visite n'en est que plus inestimable. Le duc Nikolaï est en effet connu pour ses collections privées (Rodin, , etc...), qui rivalisent avec les plus belles expositions des nombreux musées de la ville. Son architecture évoque pour certains le palais Ioussoupov, même si ses inspirations sont avant tout néo-classiques. A ne pas confondre avec le palais d'été du duc, beaucoup plus éloigné du centre-ville. Célébré pour ses jardins, il n'est quant à lui jamais ouvert aux habitants, sans même parler des touristes. Rares sont même les invités du duc à pouvoir affirmer avoir franchi ses grilles un jour. 

- Le musée des Beaux-Arts : 
En parlant de musée, il est impératif de vous arrêter, même pour une petite heure volée, au musée des Beaux-Arts de la ville, bâti par Roman Klein, celui-là même qui a conçu les plans du musée Pouchkine à Moscou. Le duc Nikolaï l'a engagé dans le but avoué de surpasser justement ses travaux moscovites et il s’en vante régulièrement. L’architecte eut à peine eu le temps de reprendre son souffle, littéralement, entre deux projets d’une telle ampleur. Les expositions temporaires sont particulièrement appréciées. La Joconde de Léonard de Vinci fut même exposée un temps. On dit que pour satisfaire cette lubie, Nikolaï dépensa plus de deux cent mille napoléons (un napoléon = 20 francs or). 

- Le festival d'été : 
Si les saisons n'ont que finalement peu d'importance à Célestopol du fait de la température régulée de la ville, nous vous conseillons vivement de profiter de son festival d'été si vous séjournez sous la coupole au mois d'août. C'est en effet l'occasion d'admirer de magnifiques feux d'artifices au-dessus des trois canaux principaux de la cité, pourquoi pas à bord de l'une des navettes fluviales qui les sillonnent à toute heure du jour ou de la nuit (là encore, des notions bien floues à Célestopol !). Seul peut rivaliser avec eux le concours de sculptures sur glace du lac aux castors. Mais tout dépend des goûts de chacun, comme souvent ! 

Où sortir, où se restaurer, où s'amuser ? 

- Le casino flottant :
Appartenant au mystérieux Li Chen, le casino flottant de la ville se caractérise bien sûr par sa décoration "à la chinoise", pour le meilleur et pour le pire du mauvais goût. Mais que voulez-vous, les clients aiment ça visiblement ! On peut en tout cas s'y amuser pendant des heures autour d'une table de Tai Sai ou d'un verre de baijiu, mais si vous souhaitez profiter au mieux de cette expérience, n'oubliez pas de payer vos éventuelles dettes rubis sur l'ongle... 

- Le parc Pokrovsky : 
Ce n'est pas le parc le plus grand de Célestopol, mais il s'agit certainement de l'un des plus charmants, en partie car il abrite le fameux lac aux castors déjà mentionné ici. Attention toutefois à ne pas vous perdre dans sa galerie des miroirs, ouverte seulement à l'occasion du festival de sculptures sur glace. S'ils sont justement de glace, leurs reflets pourraient bien vous dérouter et vous entraîner sur de nouveaux chemins. Un "et si..." est si vite arrivé ! 

- Les Jardins de Célestopol :
Au cours de ses premières années de règne - comment qualifier autrement sa mainmise sur la ville ? Lui-même ne s'en cache pas - le duc Nikolaï entreprit des travaux dignes de Babylone et de ses jardins suspendus pour créer moult îlots de verdure sous le dôme. Non seulement on peut visiter librement les jardins en question, mais, une fois par semaine, les habitants les plus pauvres de la cité, qui, certes, ne sont pas nombreux, ont le droit de venir s'approvisionner gratuitement dans les vergers de Célestopol.

- Le parc zoologique : 
Là encore une curiosité de la ville, à nulle autre pareille.
On y retrouve beaucoup d'espèces disparues ou en passe de disparaître de la surface de la Terre, comme les dodus dodos ou bien encore une meute de loups d'Hakkaido. Sans doute un souvenir de la région d'origine du duc, sur l'île Sakhaline, au large de la Sibérie. On dit de Nikolaï, prêt là aussi à dépenser sans compter, qu'il compte créer là une véritable arche de Noé. 

- Les clubs de musique :
Si vous êtes un amateur de ce nouveau genre musical qu'on appelle "jazz", pour une fois, Célestopol n'est pas à la pointe des tendances. Mais on trouve tout de même quelques clubs plus ou moins clandestins et en tout cas enfumés. De là à décider de parier sur un combat de savate clandestin un peu plus bas dans la rue... Pour les touristes qui n'ont pas froid aux yeux, c'est souvent la meilleure façon de découvrir tout un pan oublié de Célestopol et en particulier de la vie de ses ouvriers souvent reclus dans les profondeurs de la cité...

- Chez Hécate :
Les plus aventureux, célibataires ou non, auront probablement envie de goûter au fruit défendu qui a contribué à la renommée de la cité bien au-delà de ses frontières sélènes... à savoir ses maisons closes peuplées d'automates. Mais les tarifs sont bien entendu extrêmement élevés. En particulier chez Hécate, l'établissement le plus couru de la ville. Les messieurs au portefeuille rebondi ne regardent cependant pas souvent à la dépense... 

- Les grands magasins de la troisième Avenue :
On peut y acheter de tout ! Et même plus encore, puisque certains articles exclusifs sont tout bonnement impossibles à retrouver sur Terre, dont des bijoux en pierre de lune. Il faut savoir que leur commerce est interdit en dehors du dôme. Si vos amis seront sans doute jaloux de savoir que vous avez eu le privilège d'effectuer vos emplettes sur la lune, évitez de leur montrer votre note ou ils pourraient bien éclater de rire. 

- La terrasse du Luxembourg : 
Ce belvédère se présentant sous la forme d'une longue promenade en bois est un lieu apprécié des touristes comme des locaux, qui peuvent contempler le canal Sainte-Catherine dans toute sa splendeur irisée, tout en dégustant un délicieux kissel au fromage blanc ou un pirog au miel et aux noix (On vous recommande surtout celui de Mme Molokhovets).
Attention tout de même, le café glacé est particulièrement cher sur la promenade. Il faut le savoir.

En dehors de la ville !

Mais il se passe aussi bien des choses à l'extérieur de la gigantesque coupole verre et de métal qui abrite Célestopol. 

- Le massif des Apennins : 
Longeant la mer des Pluies, cette imposante chaîne de montagnes domine l'horizon de Célestopol. Les plus aventureux des visiteurs pourront se rendre sur place afin d'escalader des parois à pic dépassant parfois plus de trois cents mètres de haut ou simplement survoler les sommets en dirigeable, une activité nettement moins risquée. 

- Les puits de glace de Kovalev : 
Un étrange champ de fosses, puisque l'on en compte plus de deux cents, toutes reliées entre elles. Au fond de ces puits, on trouve de la glace d'eau parfaitement conservée à l'abri de la lumière du soleil et surtout un véritable labyrinthe de galeries souterraines ! Destination apprécie des grimpeurs sur glace comme des amateurs de spéléologie, ce dédale millénaire est encore loin d'avoir révélé tous ses secrets... Il se dit même que le duc pourrait financer une expédition en vue de découvrir une véritable... mer intérieure ! 

- Découvrez la face cachée de notre satellite :
Inspirée de la traditionnelle Coupe de l'Empereur, qui voit s'affronter au cours de régates âprement disputées autour de l'astre lunaire les grandes puissantes de ce monde, les croisières Shenandoah vous font faire le tour de la Lune de façon beaucoup plus paisible, en huit jours. A noter que certains voyageurs n'apprécient pas du tout de ne plus voir la lumière du soleil de l'autre côté. Mais après tout, les croisières se déroulant sans incident à bord ne sont certes pas les plus médiatisées ! 

Bilan

Voilà, nous terminons ici notre brève présentation de Célestopol, en espérant avoir su susciter votre curiosité ! 
Bien entendu, nous aurions pu également mentionner le Grand Palais, l'opéra de la ville, son observatoire astronomique (avec le plus grand télescope du monde !) ou même... son parcours de golf, mais si vous êtes intéressés par un séjour sur place, peu importe sa durée, n'hésitez pas à contacter notre agence pour de plus amples informations. 
Nous nous ferons un plaisir de répondre à toutes vos questions ! 

Nouveau roman à venir en 2018 chez... Critic !

C'est le contrat que j'ai signé le mois dernier aux Imaginales, après avoir vu le projet être accepté quelques semaines plus tôt.
Il ne s'agit pas du manuscrit Phantom Dust, mais de quelque chose d'encore différent.
La sortie du roman est calée pour le moment à avril 2018. Bien sûr, c'est une étape importante pour moi et je suis très heureux d'avoir réussi à convaincre les éditions Critic de s'engager sur ce projet à mes côtés.
Plus de renseignements sur cette page que je viens d'ouvrir en conséquence ! 

Dans l'actu de début juin 2017

Bonjour tout le monde !
Petit tour d'horizon en vrac cette semaine. 
 

Côté traduction : 

- Je viens de terminer celle du roman Young Adult Ink, d'Alice Broadway, pour le compte de Pocket Jeunesse. En principe, la traduction française doit paraître cet automne. 
- Et je viens dans la foulée d'attaquer celle de The House of Binding Thorns d'Aliette de Bodard, pour Fleuve Editions. Il s'agit de la suite de La Chute de la Maison aux Flèches d'Argent

 

Côté écriture : 

- J'ai renvoyé le projet Phantom Dust à l'éditeur concerné, après bien des atermoiements - de mon côté ! A un moment, il faut bien se décider. Comme je l'ai déjà dit, il ne s'agit pas cette fois des Editions de l'Instant.
- J'ai surtout entamé l'écriture de mon nouveau roman, signé mais pas encore annoncé publiquement (ça ne saurait tarder cela dit), là encore chez un autre éditeur. On en reparle très vite maintenant ! 

Quant à Célestopol, paru la semaine passée, le recueil vit désormais sa vie...
J'espère simplement que les premiers avis de lecteurs seront aussi positifs que les chroniques déjà parues, évidemment ! En tout cas, concernant la petite BD offerte en précommande, on dirait que oui. :-) 
On en reparle là aussi sous peu, car je compte bien vous entraîner dans une visite guidée de la cité !

Les Imaginales J-6, 5, 4, 3...

Ah, un certain retour en France se rapproche ! 
C'est le moment de faire le point. 

Le Village était en lice aux Imaginales pour le prix du meilleur roman francophone 2017, mais ne l'a pas emporté.
C'est Journal d'un marchand de rêves qui a été désigné vainqueur par le jury du prix Imaginales, et son auteur, Anthelme Hauchecorne, s'est fendu d'un billet fort classieux avec un mot pour chacun de ses "concurrents", dont quelques lignes sur Le village du coup. 
Félicitations encore à tous les gagnants ! 

En parlant des Imaginales, vous pouvez retrouver mon programme sur cette page.
En plus des périodes de dédicaces (enfin, si vous vous arrêtez !), je participerai donc à trois tables rondes : 
- Heureux qui, comme le lecteur… On a fait un beau voyage !
- Premiers romans... Nouveaux talents !
Récits angoissants... Et ses personnages inquiétants !

Mais l'actualité, c'est aussi et surtout la sortie de Célestopol maintenant ! 
Pour le moment, les trois premières chroniques (ici, , et encore ) publiées sont toutes les trois très positives, ce dont je ne peux que me réjouir, évidemment ! J'ai aussi eu l'occasion de répondre à quelques questions concernant ce projet qui me tient tellement à cœur dans le cadre de cet entretien
Le recueil est désormais sorti d'imprimerie et tout va bien ! Les précommandes sont d'ailleurs toujours en cours en passant.  

Et si vous prenez quelques minutes pour lire cet entretien, vous tomberez sur quelques infos concernant mon prochain roman à paraître en avril 2018 (déjà !), et que j'avais déjà annoncé via un tweet... 
Signature "officielle" du contrat la semaine prochaine et je devrais vous en reparler très vite dans la foulée !