Toujours pour les 20 ans d’Elbakin.net…
Même si pour l’occasion, je parle surtout de fantasy en général et un peu de mes propres romans au passage, certes.
C’est à retrouver à cette adresse, et encore merci à l’équipe de Babelio pour cette opportunité.
News
Une rentrée au pas de charge !
Oui, j’aurais dû écrire ce billet beaucoup plus tôt…
Car ce mois de septembre 2020 ne fut pas n’importe quel mois de septembre, ni n’importe quelle rentrée donc. Un site très cher à mon cœur a en effet fêté ses 20 ans d’existence ! Je parle bien entendu d’Elbakin.net. Je ne reviendrai pas ici sur ce que j’ai déjà dit là-bas.
Mais je peux tout de même vous signaler en parallèle la mise en ligne d’un podcast spécial. Pour ma défense, je pourrais invoquer une activité traduction/écriture très chargée pour ce mois de septembre.
Entre deux textes à rendre : Final Fantasy VII Remake
J’ai tout de même pu trouver un peu plus d’une heure pour enregistrer un nouveau numéro, un peu spécial, du podcast Elbakin.net.
Un épisode entièrement dédié à Final Fantasy VII, Remake ou pas d’ailleurs.
A retrouver ci-dessous !
Fin septembre en vrac !
- Je vous avais parlé l'autre fois de deux traductions. Eh bien, la signature officielle concernant la seconde approche. Mais cette fois changeons de danse, histoire de varier le plaisir des yeux...
Cela dit, en prime, ces deux/trois dernières semaines ont été bien chargées.
- Deux nouvelles nouvelles (sic) acceptées, sur lesquelles j'espère revenir bientôt.
- La première, Brasier, dont j'achève les corrections définitives.
- Un super projet éditorial en vue pour la prochaine version d'Elbakin.net, avec des gens de qualité...
- Et un autre projet "pro" mais perso pour le coup, auquel je n'aurais jamais pensé il y a quelques semaines seulement.
Comme quoi, il faut parfois laisser mijoter les choses et prendre un peu de recul pour se pencher sur autre chose, ce qui n'empêche pas bien sûr de devoir parfois jouer de la relance (ce que j'ai dû faire aussi pas plus tard qu'aujourd'hui d'ailleurs). Encore une fois, il n'est toujours facile de trouver le bon équilibre entre les deux.
Mais ce bilan est déjà pas mal.
Enfin, du moins, il me semble.
Non ?
Le prix Elbakin.net 2015
Là aussi, comme pour les 15 ans du site, que n'ai-je pas déjà dit sur place ? ;-)
Mais je pourrais ajouter qu'il est toujours agréable de voir l'un de ses bébés - le genre de projets dans lequel on s'est beaucoup investi et de façon prolongée - continuer à faire son chemin, un auteur comme Guy Gavriel Kay réagir sur Twitter, ou encore l'annonce des résultats reprise par Reddit Fantasy ou un site comme SFSignal.
Quant à ce cru 2015, je ne sais pas s'il vaut mieux des débats acharnés ou bien au contraire une certaine évidence rapidement admise au sein du jury, mais du moment que les romans choisis sont convaincants, pour ne pas dire excellents, peu importe la méthode !
Au bout du compte, il ne peut en rester qu'un (enfin, un par catégorie...) et avec eux le plaisir de la découverte ou de la confirmation.
Mais comme il faut à présent déjà penser au prix 2016 et à tant d'autres choses, attendez-vous par exemple dans la semaine à un nouveau Entre deux textes à rendre ou à un retour sur l'actualité du petit monde de la traduction...
Bon dimanche !
15 ans
1er septembre.
La rentrée pour certains, un anniversaire un peu particulier pour d'autres.
En vrai, j'ai déjà tout dit sur Elbakin.net justement, un peu plus tôt. Si ce billet sonne un peu comme un "au-revoir", désolé, ce n'était pas le but recherché. ;-)
J'ai toujours autant de plaisir à discuter de mes lectures et à dénoncer ouvertement celles que je ne trouve pas au niveau, mais je me pose toujours autant de questions à la perspective de franchir une certaine barrière, comme d'autres avant moi.
Ah, et dire qu'il n'est même pas 11h du matin au Canada ! Le temps s'écoule si vite et je suis encore là à m'interroger.
Je reprendrai simplement ma "citation du jour" pour conclure :
La croisée des chemins. La ronde des jours, des saisons et des années. La vie offrait parfois l'amour, souvent le chagrin. Pour qui avait la chance, une amitié sincère.
Les Chevaux Célestes
Le prix Elbakin.net 2015, les nommés
J'avoue, le cadre a l'air sympa pour lire au calme...
Les finalistes sont maintenant connus.
Si je devais m'exprimer, brièvement, sur les nominations côté "Adultes", je dirais que je suis très fier de ce cru. C'est bien simple, on trouve de tout. De l'épique, de l'intimiste, de l'historique, du steampunk, un déluge de magie ou bien juste un filet... Demandez le programme !
C'est un exercice pas toujours facile et qui exige pas mal d'équilibre, mais que j'apprécie d'autant plus quand il permet de remettre en lumière certains titres. Et c'est pour moi une démarche aussi naturelle que légitime dans le cadre d'un site spécialisé qui va fêter sous peu ses 15 ans d'existence.
Bien entendu, je vous invite également à vous pencher de plus près sur la sélection Jeunesse.
A présent, place au débat à fleurets mouchetés et rendez-vous en septembre pour les annonces publiques concernant les gagnants !
Chaud au cœur
Pas d'info particulière sur le front de la traduction cette semaine - même si j'ai terminé mon dernier projet en cours lundi -, mais qui dit, euh, eh bien, mon nom, dit sans doute Elbakin.net et fantasy.
Si je ne suis plus associé directement à la branche associative d'Elbakin.net - n'étant plus qu'un "simple" membre -, j'ai été ravi de voir celle-ci prendre une décision importante et parlante cette semaine, avec un soutien financier actif au beau projet du Panorama illustré de la Fantasy nouvelle version.
Et si on ne le fait bien sûr pas pour recevoir des compliments, tout comme Elbakin.net depuis ses débuts, cela fait toutefois très plaisir de lire des choses comme ça, au détour d'une page.
Même et surtout à un océan de distance et quand la tâche n'est pas toujours si facile. Je serai en tout cas bien mal placé pour critiquer le travail en équipe.
Et bien sûr, c'est là un projet que vous pouvez encore et toujours soutenir !
Retour sur l'aventure SciFiNow
C'est indiqué dans l'édito de ce 12eme et dernier numéro de SciFiNow, paru voilà quelques jours maintenant : l'aventure se termine ici.
Lorsque nous avons été contactés sur Elbakin.net à l'initiative de Mathieu Saintout il y a un peu plus de deux ans maintenant pour participer à cette histoire, j'avoue que je n'ai pas hésité longtemps. Quitte à ce que ce nouveau magazine propose une section de chroniques de romans... autant nous en charger nous-mêmes ! Certes, je n'estime pas qu'Elbakin.net détienne la vérité absolue dans ce domaine ou un autre, mais je pense évidemment nos papiers de qualité, et toujours honnêtes dans leur approche. Qui plus est, se retrouver partenaire d'un tel magazine nous permettait sans doute de toucher des gens qui ne connaissaient pas le site.
Pendant deux ans donc, j'ai donc préparé tous les deux mois une sélection des chroniques de romans disponibles sur Elbakin.net. Dans quelle optique ? Eh bien, dans le but le plus souvent de mettre en avant nos coups de cœur plutôt que d'accorder de la place à des romans qui ne le méritent pas. Là encore, quitte à profiter de la visibilité proposée par un magazine tiré à plusieurs milliers d'exemplaires, autant parler d'ouvrages qui nous ont vraiment plu.
C'est ce que j'ai tâché de faire du mieux possible, en tentant aussi de profiter de cette sélection bimestrielle pour montrer à ces nouveaux lecteurs quelle était et quelle est toujours la ligne directrice du site. C'est à dire la recherche de titres de qualité, aussi bien sur le fond que sur la forme, mais sans renier une certaine dimension divertissement ou dépaysement qui compte tant pour certains amateurs de fantasy. Être classique n'est pas un problème : mais rester prévisible, redondant, sans imagination, sans vie, nettement plus.
Je voulais profiter de ce billet pour remercier l'équipe éditoriale de Panini qui ne m'a jamais imposé aucun choix, ni insister pour qu'on mette en avant des ouvrages Eclipse. Il se trouve juste que ceux-ci étaient bons. Eh oui, parfois, ça aide, même si malheureusement, "pousser" un roman ne suffit pas toujours à en faire un succès. En tout cas, pas pour nous. J'ai aussi appris au contact des autres acteurs du magazine (Glissons un salut amical à Aurélien Vives que j'aurais souvent embêté par mail).
Même si c'était donc parfois le cas, se reposer sur un simple copier/coller était loin de constituer la solution idéale. Il fallait donc recontextualiser l'ouvrage, ne pas faire trop court ou trop long, ne pas oublier que l'on ne s'adressait pas au public d'habitués du site... Relire une chronique datant de plusieurs mois représente également un exercice pas toujours très agréable mais utile, afin de parfaire son propos.
Au bout du compte, cette participation a-t-elle radicalement changé Elbakin.net ? Non. Nous n'avons pas vu des centaines de personnes nous rejoindre sur le forum ou ailleurs. Impossible de cliquer directement sur un lien depuis son exemplaire papier ! La presse des années 2010 ne le permet pas encore.
Un magazine, hors revues visant un public "de niche", est-il condamné à ne pas marcher, du moins à moyen terme ? De mon point de vue, ce n'était pas tant une question de manque de lecteurs (ils étaient là) que de marché très difficile depuis quelques années. Après tout, si la licence SciFiNow se révélait pour ainsi dire inconnue en France, le magazine surfait beaucoup sur l'actualité et par exemple des séries TV grand public.
Ce fut donc une expérience enrichissante sur un plan professionnel et que l'on aurait bien sûr souhaité voir se prolonger. Ce n'est pas le cas. Tant pis mais nous n'avons pas à rougir de notre participation. Avec un peu de chance, des ouvrages de qualité ont gagné quelques lecteurs.
C'est déjà ça de pris.
La soirée du prix Elbakin.net 2014
Oui, j'aime bien insister lourdement avec de gros coups de coude quand je fais une comparaison...
C'est ce soir, à partir de 19h30, au Dernier Bar avant la fin du monde (à Paris), qui nous accueille une fois encore.
Une édition 2014 un peu spéciale d'ailleurs.
Par exemple, cette fois, les résultats ont été dévoilés en avance. Ce qui n'empêche évidemment pas de fêter ça, au contraire.
Et heureusement, les livres de cette cuvée, tous autant qu'ils sont, parlent d'eux-mêmes, ce qui m'évitera de devoir faire trop long au moment de montrer sur l'estrade.