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Le Nouveau-Coronado arrive chez Folio !

Si vous me suivez de près ou de loin sur les réseaux, vous le savez peut-ètre : j’ai au moins trois billets de blog de retard !
Mais je ne pouvais pas passer à côté de cette nouvelle, sans attendre : c’est désormais public, La Piste des cendres arrivera dans la prestigieuse collection Folio SF au second semestre 2022 ! Pascal Godbillon vient de l’annoncer dans son bilan de l’année fantasy.
Après Célestopol chez Libretto (qui depuis a nettement réduit la voilure côté Imaginaire) en 2019, c’est donc la deuxième sortie poche de l’un de mes romans. Folio, c’est Gallimard, et c’est donc tout un symbole à mes yeux que d’intégrer pareille maison.
C’est également un moment d’émotion tout particulier que de me dire que cet univers aura droit à une nouvelle vie, au contact d’un nouveau public, puisque, mine de rien, beaucoup de gens ne lisent que du poche. L’univers commun de L’Empire du Léopard et de La Piste me tient très à cœur, de par son cadre, ses thématiques, et bien entendu, les personnages qui le peuplent.

Je tiens également à remercier toute l’équipe de Critic, qui a cru en ce roman et l’a soutenu au moment de sa sortie en plein premier confinement (!) et tout particulièrement Simon Pinel, mon éditeur sur ce projet. Et bien sûr, Pascal Godbillon.
Cette fois, nous voilà en selle !

De retour sur la Piste

Où l’on parle encore d’un certain roman paru chez Critic…
La blogosphère de l’Imaginaire en France ne manque pas de voix dynamiques et variées. Parmi celles-ci, depuis quelques années, le blog d’Apophis a su attirer l’attention, notamment par des prises de position marquées.
A titre personnel, j’apprécie le plus souvent ses chroniques exhaustives même si évidemment, je ne suis pas toujours d’accord avec lui au bout du compte. Mais qui est toujours à 100% sur la même longueur d’onde avec qui que ce soit, surtout quand il est question de romans ?
Apophis s’était déjà chargé de la chronique de La Piste des cendres dans la revue Bifrost, aussi je savais-je que le livre lui avait plu. Mais je ne pensais pas forcément qu’il s’agirait de sa lecture de l’année dans la catégorie “fantasy francophone”, cf la capture ci-contre.
Une nouvelle que j’ai accueillie avec plaisir !
Et merci encore à toutes celles et tous ceux qui ont donné sa chance à ce roman.

La table ronde auteur/traducteur en vidéo

On en parlait dans ce billet, à l’occasion du Mois de l’imaginaire qui bat son plein en ce moment même…
Et voici la vidéo désormais en ligne sur Youtube. Encore merci au Nuage Vert pour l’invitation et l’accueil et à mes “complices” d’un soir, Mélanie Fazi et Sara Doke.

Ci-contre, toujours pour “Le Mois”, une affiche de mise en avant des éditions Critic par la librairie Mollat de Bordeaux… Affiche que je valide, évidemment. ;-)

La Piste des cendres nommé au Prix Babelio 2020 !

Ce fut la très bonne surprise de ce lundi 18 mai, à savoir la sélection de La Piste des cendres pour le prix Babelio 2020, catégorie Imaginaire !
10 titres ont été retenus pour cette nouvelle édition, dont la Piste donc. Et vous pouvez voter, à condition d'avoir un compte Babelio, sur cette page. Evidemment, rien ne vous oblige à voter pour La Piste des cendres, mais si vous l'avez lu et si vous avez aimé... Eh bien, un petit clic représenterait pour moi un précieux soutien !
Merci à vous, et merci bien sûr aux édtions Critic qui ont validé et soutenu ce projet depuis le début, et qui comptent même un autre finaliste avec Nécropolitains de Rodolphe Casso.

Dans l'actu de début mai 2020

On reste en contact ! Mais à distance.

Tout d'abord, je vous parle de vive voix, dans cette vidéo ci-dessous, qui reprend environ les trois quarts de ma nouvelle Brasier, parue dans l'anthologie 2019 du Salon Fantastique chez Elenya Editions.
J'ai enregistré le tout d'une traite, alors j'espère que vous ferez preuve d'un soupçon d'indulgence si besoin !

J'ai aussi eu le plaisir la semaine passée d'être interviewé par le quotidien régional bien connu La Voix du Nord, essentiellement au sujet de La Piste des cendres.
Cette fois, c'est à lire, ici.

Avril 2020 : en rafale

Un mois de plus, toujours aussi spécial, qui touche à sa fin.
Avec trois actualités “majeures” ces jours-ci :

- Pour quelques (bonnes) heures encore, L’Empire du Léopard est disponible gratuitement - oui, oui, vous avez bien lu - en numérique dans le cadre de l’Opération Bol d’air.
- Si vous voulez en savoir plus sur L’Empire, mais aussi sur Célestopol ou La Piste des cendres, vous pouvez me retrouver en entretien sur les Chroniques du Chroniqueur. Attention, c’est assez long, mais, je l’espère, relativement intéressant !
- Enfin, rien à voir, mais côté traduction : je vois que le sujet intéresse encore régulièrement les visiteurs qui s’égarent en ces lieux, alors sachez que Tad Williams travaille toujours sur La Ferme des Dragons 3. Il vient de l’indiquer dans sa dernière newsletter. Au bout de 5 ans sans nouvelle concrète à ce sujet, je dois bien dire que n’y croyais plus.

L'Empire du léopard : deux ans, déjà !

Le 19 avril 2018, L’Empire du léopard sortait aux éditions Critic, une semaine à peine avant Poussière fantôme chez Scrineo.
Forcément, deux ans (bon, et un jour) après, en pleine période de confinement, et alors que La Piste des cendres, un roman situé dans le même univers mais qui n’est PAS une suite vient de paraître en février, c’est un moment un peu étrange pour moi, mais surtout de bons souvenirs, bien sûr.
L’excitation de cette première parution chez un nouvel éditeur, mon retour en France, un univers fantasy à défendre…

Deux ans plus tard, je m’estime très chanceux vu les retours critiques obtenus un peu partout.
Arriver chez Critic, avec des collègues bien connus comme Thomas Geha, Lionel Davoust ou Estelle Faye (et tous les autres !), c'était une nouvelle étape et une certaine appréhension. Mon éditeur sur ce roman, Simon Pinel, connaît bien mon côté anxieux !
Mais j’ai vu les lectrices et les lecteurs adhérer très majoritairement, le roman être cité dans Télérama par exemple l’an dernier, le Furet du Nord en faire son titre fantasy de 2018, Cérès et les autres trouver encore de nouveaux échos tout récemment… J’en profite pour remercier les éditions Critic bien sûr, avec Eric Marcelin à leur tête, mais aussi Pierre Droal, qui a donné vie à Cérès sur la couverture, et toutes celles et tous ceux qui ont donné sa chance à ce roman.
Deux ans… Voilà qui se fête, non ?

La Piste des cendres : présentation des personnages

Comme quoi, le confinement peut avoir du bon : je n’avais pas eu le temps de préparer un article du même genre que ceux rédigés pour L’Empire du Léopard ou Célestopol avant la sortie du roman le 20 février, mais voici désormais cet oubli réparé (et j’aurais même pu vous en faire découvrir le double).
J’espère que vous serez sensibles à cette présentation !

La Piste des cendres chez Critic.

Xavier Collette

Azel Alborán :

Le fils d'un propriétaire terrien venu du Coronado et d'une esclave indigène n'a jamais trouvé sa place au sein de la famille Alborán, l'un des grands noms de la noblesse de Vila Verde. Le jeune homme s’est bien vite éloigné des siens, devenant chasseur de primes sur les plaines du Nord de la péninsule, et voyageant seul dans les montagnes de l'Azur.
Il entretient des relations tout aussi compliqué avec son héritage autochtone.




Ross Tran

Zuhaitza :

Jeune indigène à la recherche de sa sœur disparue, Zuhaitza arpente les plaines en compagnie de sa mule Constance, du nom de la souveraine du Coronado.
C’est alors qu’elle s’est faite arrêter soi-disant pour vagabondage et vente de décoctions interdites qu’elle va croiser la route d'Azel, lui-même lancé à la poursuite d'une cible qu’il n’aurait jamais cru pister.
Zuhaitza a appris avec le temps à ne dépendre que d’elle-même. Mais peut-on vivre ainsi longtemps ?

Jake Gumbleton

Artemis Cortellan :

L'ancien vice-roi de la colonie, en exil depuis quelques années au large de la cité de Carthagène se voit brusquement rappelé sur le continent afin de briser le soulèvement des sécessionnistes.
L’étincelant capitaine-mercenaire d’autrefois, désormais au crépuscule de sa vie, est-il animé par la revanche ou le devoir ? Difficile de le savoir, avec un homme qui s'est toujours enivré de sa propre légende, quitte à la bâtir lui-même.



Halil Ural

Halil Ural

Julen Alborán :

Le père d'Azel et de ses deux demi-frères, Antero et Heitor.
Régnant d'une main de fer sur sa fazenda, partageant son temps entre son élevage de "licornes" (des créatures rappelant des rhinocéros laineux) et sa distillerie, l'homme, qui se n'est jamais remis de la mort de sa première femme, s'est depuis remarié, avant tout par respect des convenances.
Résigné quant au devenir de la colonie, il doit aussi composer avec l'émergence des sociétés de prospection pétrolière, qui aimerait bien mettre la main sur les plaines.

Val ‘

Andelo Calider :

Journaliste de la Gazette, l'un des rares quotidiens indépendants de Carthagène, l'homme se montre pour le moins critique quant à la politique des autorités du Nouveau-Coronado, et quelque peu circonspect au sujet de la stratégie guerrière d'Artemis Cortellan.
Alors que la chose n’est pas courante, le reporter va même décider de rejoindre le front, pour témoigner du conflit en cours.

Z.W. Gu

Ombeline Alborán :

La nouvelle épouse du père d'Azel, qui a traversé l'océan dans le cadre d'un mariage arrangé il y a une dizaine d’années.
Beaucoup plus jeune que son époux, elle n'a que faire des traditions rigides du Coronado et a décidé de s’engager pour la cause des indigènes. C'est à ce titre qu'elle viendra elle-même trouver Azel, pour lui demander de l'aide.

Ya Lun

Le prélat Comnène :

Le dirigeant de la Croix-Blanche le plus important de la colonie regarde avec inquiétude et appréhension les troubles grandir dans la péninsule, qui ne parvient pas à vivre de façon apaisée.
Si le sort des populations indigènes lui importe, il demeure à ses yeux secondaires alors que la colonie s’apprête à célébrer ses vingt-cinq ans de paix.




Kyoung Hwan Kim

Kyoung Hwan Kim

Jophiel :

Chef d’une étrange bande de hors-la-loi à la recherche d’un type particulier de biens, le petit pistolero aimerait de façon évidence s’exprimer avec le parler châtié d’un membre de la noblesse, mais il en est très loin.
Toutefois, Azel, ou quiconque, ferait mieux d’éviter de lui en faire la remarque. S’il ne tient compte que d’une voix, la sienne, il n’apprécie guère que ses troupes attirent l’attention en ville.





Le convoi :

Cholallan, Tollani, Otiru, Usan…
Autant de noms et de visages qu’Azel va devoir apprendre à connaître en accompagnant le convoi de ces fuyards sur les plaines et jusqu’aux chutes de Calabrim.
Hommes, femmes et enfants cherchent à échapper à leur sort et surtout à la condition qui est celle des indigènes dans le Nouveau-Coronado, souvent réduits à l’état d’esclaves en pratique si ce n’est en statut.