Pour continuer à rêver malgré la rentrée, découvrez CELESTOPOL 1922 d'Emmanuel Chastellière, en offre numérique à 4,99€ tout le mois de septembre !
Ce n’est pas moi qui le dis… c’est mon éditeur.
Comme l’indique le visuel ci-contre, le recueil est disponible sur TOUTES vos plateformes préférés de ventes de livres en numérique, à prix cassé.
Difficile de faire plus bas ! :)
News
Juillet 2021 : tout n'est pas à l'arrêt !
Eh oui, il faut bien qu’on soit quelques-uns sur le pont, et non pas à faire le pont.
Juillet est toujours un mois assez particulier pour moi, encore plus cette année, avec un anniversaire “symbolique” on va dire. Alors, quand je jette un œil à la chronique de Célestopol 1922 dans le dernier numéro de la revue spécialisée Bifrost '(avec un bout ci-contre), je me dis que, mine de rien, le travail paie.
Pas assez vite si l’on veut, mais au moins, il ne passe pas inaperçu, à l’image aussi de nouveaux coups de cœur libraires.
Pour le reste, vous pouvez aussi me retrouver mentionné ou interrogé en suivant ces deux nouveaux liens :
Célestopol 1922 dans Le 1 des libraires et autres réjouissances !
La fin du mois de juin marque l'arrivée des listes ou des sélections en tous genres pour l'été - moi-même, je l'avoue, j'ai craqué, mais aussi de certains numéros hors-série de revues prestigieuses, comme ceux du 1 dédiés aux libraires.
Le dernier en date dédié par ailleurs à la dystopie propose aussi 8 titres mis en avant par... des libraires, donc justement Célestopol 1922, qui apparaît aussi ici ou là, toujours dans ce registre des recommandations estivales.
Et donc, en un mot : merci !
6 livres à lire pour cet été... + 1 !
Je n'ai jamais été un grand adepte des articles de type "liste", ni en tant que lecteur sur la toile ou même sur un site comme Elbakin.net.
De temps en temps, pourquoi pas, mais ça devient parfois un recours/ressort/prétexte pour multiplier les contenus sur le même schéma. Mais l'été est là (si, si !) et il y a parfois des romans dont je n'ai pas le temps de parler, alors qu'ils le mériteraient largement.
Le temps qu'il fait à Middenshot :
Ce nouveau roman traduit d'Edgar Mittelholzer après l'an dernier, met de côté le fantastique (même si, au détour de certains détails d'ambiance, on goûte le doute...) pour la comédie noire. Et c'est tout aussi réussi, avec une galerie de personnages toujours étranges et profondément humains, y compris dans leurs failles. On retrouve son goût des mots, à travers des visions tour à tour fulgurantes ou pétrifiantes.
Mars :
Ce court recueil d’Asja Bakić, autrice serbe, est publié par Agullo.
Abordant différents registres (SF, Fantastique...), l'ouvrage est toujours intéressant, même si on se dit parfois que certaines nouvelles auraient bien mérité quelques pages de plus ou que l'idée centrale d'une autre était peut-être un peu légère pour soutenir un récit complet.
Mais j'ai été intrigué d'un bout à l'autre par l'ensemble, et notamment par le ton de l'autrice, ce qui me rend (très) curieux d'en découvrir davantage de sa part un jour prochain.
Toutes les saveurs :
Décidément, nous voilà encore dans le format court !
Mais on ne se refait pas, surtout quand il est question d’un tel auteur…
Dans cette novella, Ken Liu revient sans détourner le regard sur les dures réalités de l’histoire, mais avec un certain optimisme, sur l’installation des premiers immigrés Chinois en Amérique. Limpide, plein de jolis moments et d’autres nettement plus terribles, Toutes les saveurs mérite amplement le coup d’œil.
Formosana :
On résume souvent Taiwan à son opposition de plus en plus frontale à la Chine, mais cet ouvrage de permet de toucher du doigt la réalité de la vie de ses habitants, le tout encadré par des notions historiques et sociétales qui apportent un nouvel éclairage au lecteur.
Au-delà de ces aspects-là, il faut noter une véritable dimension littéraire, ce qui n'a rien de surprenant pour un ouvrage publié chez L’Asiathèque. Là encore, c'est une lecture qui m'a permis d'apprendre et c'est souvent l'essentiel.
Le Crépuscule de Briareus :
Petite incursion retour sur les classiques avec cette réédition (à la traduction révisée) de ce roman de Richard Cowper, auteur anglais des années 60/70 qui fut aussi critique littéraire.
Cet ouvrage à hauteur de femmes et d’hommes se révèle bien plus moderne qu'on ne pourrait le croire, dans ses thèmes mais aussi son ton et on se laisse rapidement prendre au jeu de ces réflexions.
En prime, la reproduction d'une interview.... rafraîchissante de l'auteur, qui s'illustrait par une vraie liberté de ton.
Hamnet :
Un jour d’été 1596, dans la campagne anglaise, une petite fille tombe gravement malade. Son frère jumeau, Hamnet, part chercher de l’aide car aucun de leurs parents n’est à la maison…
Le nouveau roman de Maggie O’Farrell vient de sortir chez Belfond et j’ai vraiment été touché par cette histoire centrée sur le deuil et le pouvoir de la création, sans fard mais toujours avec délicatesse. Evidemment, ce n’est pas le genre d’ouvrages qui a besoin d’un coup de projecteur, mais on peut aussi laisser parler son cœur, non ?
Et voilà pour cette modeste sélection !
Bien sûr, j'aurais probablement pu citer 6 autres ouvrages d'égale valeur, ou bien 12, 18...
Mais je voulais tout de même en ajouter un dernier, que j'aurais inclus peu importe la liste.
Et je veux parler de Célestopol 1922.
Entre l'accueil des lectrices/lecteurs, blogueuses/blogueurs, ou même, un peu, de la presse (Le Monde, Télérama, Le 1...), je n'ai vraiment pas de quoi me plaindre et je pense que c'est un ouvrage apprécié par ceux qui lui ont donné sa chance.
Mais voilà, à la fin de la route, l'essentiel pour un roman, ce ne sont pas (forcément) les bonnes critiques, ce sont les ventes.
Alors, si vous êtes prêts à décoller pour la Lune, c'est le moment d'embarquer !
Sortie traduction : Le Souffle du Moissonneur
Le Livre des Martyrs poursuit sa route en France aux éditions Leha, avec comme d'habitude maintenant un nouveau tome tous les 6 mois environ en librairie.
Cette fois, c'est donc le n°7 (du cycle principal) de l'univers de Steven Erikson qui est arrivé sur les étals, un tome qui alterne comme toujours les points de vue mais aussi les changements de rythme. Il faut dire qu'avec encore une fois plus de 1000 pages à se mettre sous la dent, il y a de quoi faire.
C'est un volume que j'ai trouvé assez singulier et qui contient son lot de moments parfois étonnants, y compris dans le ton !
Célestopol 1922 sur Télérama... et retour en vidéo !
La semaine écoulée fut encore plutôt chargée, pour la cité sélène…
Et en parlant de Lune, c’est sous cet angle que je me suis exprimé sur Télérama.fr, qui revenait aussi plus précisément sur 1922 : “Entre steampunk et uchronie, Célestopol 1922 mêle la vivacité de l’écriture à l’originalité d’un monde que l’on se plaît à parcourir.”
Mais la semaine passée, vendredi donc, c’était aussi mon entretien live avec l’équipe de Steampunk, fr, que vous pouvez retrouver ci-dessous !
Retrouvez-moi en interview vidéo vendredi 4 juin
Puis-je faire plus clair comme intitulé ?
Probablement pas !
J’aurai en tout cas le plaisir de vous retrouver ici dans le cadre d’un entretien en direct avec Steampunk.fr, vendredi 4 juin à 20h. Oui, je sais, il fait beau, les terrasses sont ouvertes, mais… rien ne vous empêche de venir m’adresser un petit coucou !
Si vous voulez vous manifester en vue de cette rencontre, vous pouvez le faire via ce lien.
Célestopol 1922, J+60 !
Deux mois depuis la sortie en librairie de Célestopol 1922 et je continue à toucher du bois.
Car pour le moment du moins, les retours sont bons, voire oserai-je le dire, excellents. Les chroniques de blogs et les avis de lectrices et lecteurs continuent de tomber régulièrement, l'ouvrage a été à l’honneur dans La Voix du Nord (après Le Monde) encore récemment et quelques autres petites choses se préparent...
Sans oublier un podcast avec Arthur Morgan, où je discute du recueil bien sûr, mais aussi de bien d’autres choses ! Pour le reste, chers libraires, on compte sur vous ! ;)
Ci-contre, la carte de la ville (signée Olivier Sanfilippo), dévoilée officiellement en ligne.
Quand Célestopol 1922 décroche... Le Monde
A défaut de la Lune !
Mais… Même si les colonnes du Monde des livres abordent mine de rien régulièrement l’Imaginaire, c’est la première fois que l’un de mes ouvrages y figure en tout cas. Vous pouvez donc vous faire une petite idée de ma surprise en apprenant la nouvelle jeudi dernier…
Quand on voit à quel point il faut se battre, jour après jour, pour arracher la moindre bribe de visibilité dans un marché de plus en plus concurrentiel, malgré les demandes de ralentissement des parutions qui n’auront guère été entendues… C’est une véritable bouffée d’air frais.
Entre cet article, celui de Numerama ou des chroniques de blog franchement très positives jusqu’à maintenant, je retiens mon souffle. Mais certains titres sont portées aux nues sans se vendre et d’autres ne font pas de bruit et épuisent leur tirage.
Donc, si Célestopol 1922 vous tente, ma fois, n’hésitez plus, il vous attend en librairie !
Et… je vous ai dit que j’avais lancé un Wiki officiel ?
Célestopol 1922 en librairie
Mon nouveau “fix-up” est disponible depuis 15 jours maintenant.
Pourquoi je ne suis pas revenu plus tôt sur cette sortie, pourquoi je n’ai pas “marqué le coup” le jour même, le 18 mars ? Eh bien, pour ceux qui me suivent d’un œil, vous l’aurez peut-être remarqué, mais cette fin de mois de mars fut très chargée.
Avec la “promo” à faire autour de la sortie de 1922 bien sûr, mais aussi un nouveau contrat de traduction à signer (on en reparle), un autre manuscrit à boucler, déjà… Bref, je n’ai pas chômé, croyez-moi !
Mais pour en revenir à Célestopol 1922… Pour commencer, merci. Merci à celles et ceux qui l’attendaient et qui l’ont déjà lu. Merci pour l’accueil qui lui a été fait jusqu’à maintenant. Que ce soit les premières chroniques de la blogosphère, les premiers retours des libraires, ou même maintenant cet article dans Numerama, par exemple… Je n’ai vraiment pas de quoi me plaindre, bien au contraire !
Bien sûr, malheureusement, avec la pandémie de covid-19, tout ce qui est festivals ou invitations en librairie… se révèle, sans surprise, pour le moins compliquée, pour ne pas dire impossible. Mais si vous voulez qu’on se croise, c’est toujours possible, cf le visuel ci-contre… en vidéo ! Le mardi 13 avril, à 20h, L’Homme Sans Nom vous propose de me retrouver sur Zoom pour une petite discussion tout ce qu’il y a de plus informelle et détendue ! Il vous suffit juste de vous inscrire en envoyant un mail à cette adresse créée spécialement pour l’occasion : rencontre.celestopol@protonmail.com.
Et au passage, en parlant “promo”, deux petites vidéos qui pourraient vous intéresser, si vous ne les avez pas vues passer.