Voici une courte présentation de chaque nouvelle.
13 textes, qui s’entremêlent et forment un tout !
En librairie la semaine prochaine, le 18 mars.
Cliquez sur l’image pour l’afficher en grand !
Voici une courte présentation de chaque nouvelle.
13 textes, qui s’entremêlent et forment un tout !
En librairie la semaine prochaine, le 18 mars.
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En espérant bien sûr que ce ne soit pas la date de sortie qui se change en feuilleton !
Toujours est-il que les précommandes sont ouvertes sur le site de l’éditeur depuis mardi, et depuis ce matin, vous pouvez également découvrir la première partie de Une nuit à l’opéra Romanova, l’une des 13 nouvelles qui composent Célestopol 1922.
La première partie ? Eh oui ! Il s’agit de l’une des deux plus longues nouvelles du recueil, et nous avons décidé de la découper en trois pour vous offrir un mini-feuilleton à suivre sur trois semaines !
Autant vous prévenir dès à présent : ce n’est que la première des surprises que l’on vous a préparées pour l’occasion.
Comment ça, il était temps ?
Pas faux !
Côté traduction tout d’abord, cette année verra la publication, au mois de mai, de Reaper’s Gale, le tome 7 de la saga de Steven Erikson. Et en principe, une bonne partie de l’année devrait être consacrée à la traduction… du tome 9 ! Eh oui, mine de rien, on approche déjà de la fin de la traduction du cycle (principal), ce qui paraît tout de même… assez phénoménal.
Côté écriture…
Vous l’avez sans doute déjà remarqué si vous me suivez un petit peu ici ou là, mais 2021 marque le grand retour de Célestopol, avec Célestopol 1922 chez L’Homme Sans Nom. En principe, si tout va bien, rendez-vous fin mars !
J’aurai bien sûr l’occasion d’y revenir…
Mais cette année sera aussi l’année de mon retour chez Scrineo, en duo avec Anthelme Hauchecorne, dès le mois d’avril, là aussi en principe. Shusharrah est un roman différent pour moi, clairement porté sur l’Anticipation, avec de nombreuses questions concernant les déplacements de population, les changements climatiques, et bien d’autres sujets.
Mais tout cela concerne les écrits qui devraient arriver sous peu en librairies !
Sous peu, ou pas : vous le savez, le troisième confinement se profile, paraît même inévitable, et dès lors… on pourrait bien se retrouver avec certains décalages. A cette heure, ce n’est pas le cas, je le précise en toutes lettres. Pour avoir connu cela dit l’an dernier une parution à peine trois semaines avant le premier confinement (avec La Piste des cendres), je n’ai aucune envie de le vivre de nouveau.
Pour le reste, mon année 2021 risque là encore d’être fort studieuse au niveau de l’écriture, avec un projet à venir pour l’an prochain que je n’ai encore qu’à peine évoqué… Disons juste que je me suis beaucoup documenté ces derniers mois !
Et j’en profite pour vous présenter une dernière fois mes meilleurs vœux !
Passons tout de suite sur le contexte singulier de cette année 2020, que vous avez sûrement en tête tout autant que moi.
Avant de tourner (enfin) cette page, c'est donc l'heure du bilan.
TRADUCTION :
Une année 2020 sous le sceau de Steven Erikson, comme c'est le cas depuis un petit moment maintenant. Entre les relectures et corrections du tome 6, Les Osseleurs en début d'année (avant sa sortie en octobre) puis, depuis de longs mois déjà, la traduction du tome 7, Reaper’s Gale, à paraître en mai.
Je ne compte plus les millions de signes et les dizaines de cartouches d'encre consommées... Et je salue au passage mon compère Nicolas Merrien en train de plancher sur le 8 de son côté !
ECRITURE :
Evidemment, le gros morceau de l'année, sorti trois semaines avant le premier confinement, fut La Piste des cendres chez Critic.
Il a fallu faire contre mauvaise fortune bon cœur, oublier les salons et autres dédicaces et serrer les dents. Alors, bien sûr, j'espérais autre chose mais je n'ai pas à me plaindre : le roman a été plutôt très bien reçu (histoire de rester les pieds sur terre), les retours nombreux et j'ai même touché de nouvelles plateformes de recommandations, via une interview dans La Voix du Nord au printemps ou sur Numerama ce mois-ci.
Alors, certes, on n'en parle peut-être pas autant que d'autres romans qui ont disposé d'entrée de jeu d'une visibilité tout autre, mais là encore, c'est le jeu et c'est le cas chaque année. Deux ou trois titres semblent attirer toute la lumière. La communication reste un drôle de... eh bien, de jeu justement.
Le printemps, et le confinement, fut également l’occasion de proposer une nouvelle inédite (et gratuite bien sûr) , Le Col et la courtisane, à celles et ceux qui m’ont fait le plaisir de la découvrir.
La fin d'année fut plus calme (mais en musique avec Stereotypical Working Class !) avec une nouvelle parue dans la jolie anthologie de Jérôme Akkouche et Tepthida Hay, Années folles. Une nouvelle dans l'univers de Célestopol, de quoi préparer 2021... ou plutôt un certain 1922 !
Mais ceci est une autre histoire et un autre billet.
Où l’on parle encore d’un certain roman paru chez Critic…
La blogosphère de l’Imaginaire en France ne manque pas de voix dynamiques et variées. Parmi celles-ci, depuis quelques années, le blog d’Apophis a su attirer l’attention, notamment par des prises de position marquées.
A titre personnel, j’apprécie le plus souvent ses chroniques exhaustives même si évidemment, je ne suis pas toujours d’accord avec lui au bout du compte. Mais qui est toujours à 100% sur la même longueur d’onde avec qui que ce soit, surtout quand il est question de romans ?
Apophis s’était déjà chargé de la chronique de La Piste des cendres dans la revue Bifrost, aussi je savais-je que le livre lui avait plu. Mais je ne pensais pas forcément qu’il s’agirait de sa lecture de l’année dans la catégorie “fantasy francophone”, cf la capture ci-contre.
Une nouvelle que j’ai accueillie avec plaisir !
Et merci encore à toutes celles et tous ceux qui ont donné sa chance à ce roman.
Une nouvelle étape a été franchie en début de semaine en prévision de l’arrivée de Célestopol 1922 en librairie, avec bien sûr son annonce publique chez son éditeur, L’Homme Sans Nom, une annonce que vous avez été tout de même nombreux à reprendre, y compris par exemple sur ActuSF.
Merci encore à toutes et tous pour votre soutien !
Aujourd’hui, c’est un texte à découvrir quelques mois avant mars 2021 et la sortie de 1922 qui a eu droit à une petite présentation par l’un des deux co-anthologistes de Années Folles ! Un recueil disponible dès maintenant à la commande chez Rivière Blanche.
Dévoiler enfin la version maquettée de la sublime illustration de Marc Simonetti était un moment spécial pour moi. Et c’est maintenant l’occasion pour moi de pouvoir enfin modifier cette page de présentation en place depuis… un certain temps sur le site !
Et quant à La Piste des cendres, comme je le disais l’autre jour, le roman poursuit son bonhomme de chemin avec notamment un passage dans les colonnes (et les recommandations) de Numerama.
Décembre est arrivé, et justement les libraires ont rouvert leurs portes…
Comme souvent, la fin de l’année est propice aux bilans et certains s’y prennent très tôt ! Et ça fait bien plaisir de voir figurer La Piste des cendres (mais aussi Célestopol, encore !) dans les premières listes du genre à tomber.
Je pense par exemple à :
- Yuyine
- Uranie
- Un papillon dans la lune
- Les pipelettes en parlent
Ou encore tout bonnement la sélection de Noël d’un site comme Babelio, sans parler des coups de cœur de l’année de la Fnac. Qui sait, ce n’est peut-être qu’un début !
Quoi qu’il en soit, merci encore, ça fait vraiment chaud au cœur, surtout en cette année… pour le moins… compliquée !
AJOUTS DE DECEMBRE :
La Geekosophe
Au Pays des Cave Trolls
Numerama
Albedo Awards
La Bibliothèque d’Aelinel
Top lectures de Xapur
En prime, j’ai aussi été aimablement invité à présenter La Piste justement, sur la chaîne Youtube De quoi ça parle ?
Merci, là aussi !
Toujours pour les 20 ans d’Elbakin.net…
Même si pour l’occasion, je parle surtout de fantasy en général et un peu de mes propres romans au passage, certes.
C’est à retrouver à cette adresse, et encore merci à l’équipe de Babelio pour cette opportunité.
Une petite coupe ?
J’avais eu le plaisir voilà quelque temps d’être convié à participer à l’anthologie en question, anthologie qui vient justement de dévoiler sa couverture et sa date de sortie : le 15 décembre, aux éditions Rivière Blanche !
Comme vous pouvez le voir ci-dessous, on retrouve par exemple au sommaire des noms comme Estelle Faye ou Philippe Caza, entre autres.
Pour ma part, mon humble contribution, Minuit au clair de Terre, se situe dans l’univers de… Célestopol. Histoire de patienter jusqu’à 1922 ? En tout cas, j’ai hâte de découvrir les autres histoires présentes !
Et encore un grand merci au trio Jérôme Akkouche, Tepthida Hay et Philippe Ward.
Stereotypical Working Class est un groupe de rock qui a fêté ses 20 ans de carrière en 2019.
Pourquoi je vous en parle sur ce blog ? Eh bien, ce n’est pas dans le cadre de ma “rubrique” Entre deux textes à rendre, mais parce que le nouvel E.P. du groupe vient de sortir aujourd’hui même et que ce mini-album de 5 titres s’intitule… Célestopol.
Et non, ce n’est pas un hasard ! L’an dernier, j’ai eu la surprise d’être contacté par Bertrand, le bassiste du groupe, qui avait lu et, par chance, beaucoup aimé mon recueil. Au point que ce dernier a inspiré au groupe une chanson et même le titre de cet E.P. !
Avant même d’écouter la moindre note du morceau, évidemment, je me suis senti extrêmement flatté. Songer que mes mots avaient pu en inspirer d’autres, que l’univers de Célestopol était parvenu à se montrer suffisamment évocateur pour faire naître une chanson, pas moins… Sincèrement, je ne crois pas que cela soit si courant et j’ai ressenti une émotion rare à l’évocation de ce projet.
Mais une fois écouté le morceau en question, il y a déjà plusieurs mois (Tempus Fugit…), que dire ? Dans sa durée, sa composition, ses paroles, sa dimension intimiste et épique à la fois… C’est bien simple, si j’avais une once de talent (enfin, à vrai dire, bien plus qu’une !) dans le domaine musical, je crois que c’est exactement ce que j’aurais pu ou voulu concevoir. En tout cas, la vision de Stereotypical Working Class est 100% approuvée et même revendiquée par l’auteur, que ce soit dit !
Merci encore à tout le groupe pour sa confiance. Il me semble évident que le duc Nikolaï devrait les déclarer au plus vite citoyens d’honneur de la cité…
Célestopol, l’E.P., est disponible dès maintenant en numérique, en écoute et achat bien sûr. Pour les versions physiques, il faudra en principe attendre le retour des concerts… Et j’ai hâte, c’est un euphémisme !
Ci-dessous, les paroles du morceau.