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Célestopol 1922 : précommande et... feuilleton !

En espérant bien sûr que ce ne soit pas la date de sortie qui se change en feuilleton !
Toujours est-il que les précommandes sont ouvertes sur le site de l’éditeur depuis mardi, et depuis ce matin, vous pouvez également découvrir la première partie de Une nuit à l’opéra Romanova, l’une des 13 nouvelles qui composent Célestopol 1922.
La première partie ? Eh oui ! Il s’agit de l’une des deux plus longues nouvelles du recueil, et nous avons décidé de la découper en trois pour vous offrir un mini-feuilleton à suivre sur trois semaines !
Autant vous prévenir dès à présent : ce n’est que la première des surprises que l’on vous a préparées pour l’occasion.

Le programme 2021 et...

Comment ça, il était temps ?
Pas faux !

Côté traduction tout d’abord, cette année verra la publication, au mois de mai, de Reaper’s Gale, le tome 7 de la saga de Steven Erikson. Et en principe, une bonne partie de l’année devrait être consacrée à la traduction… du tome 9 ! Eh oui, mine de rien, on approche déjà de la fin de la traduction du cycle (principal), ce qui paraît tout de même… assez phénoménal.

Côté écriture
Vous l’avez sans doute déjà remarqué si vous me suivez un petit peu ici ou là, mais 2021 marque le grand retour de Célestopol, avec Célestopol 1922 chez L’Homme Sans Nom. En principe, si tout va bien, rendez-vous fin mars !
J’aurai bien sûr l’occasion d’y revenir…
Mais cette année sera aussi l’année de mon retour chez Scrineo, en duo avec Anthelme Hauchecorne, dès le mois d’avril, là aussi en principe. Shusharrah est un roman différent pour moi, clairement porté sur l’Anticipation, avec de nombreuses questions concernant les déplacements de population, les changements climatiques, et bien d’autres sujets.

Mais tout cela concerne les écrits qui devraient arriver sous peu en librairies !
Sous peu, ou pas : vous le savez, le troisième confinement se profile, paraît même inévitable, et dès lors… on pourrait bien se retrouver avec certains décalages. A cette heure, ce n’est pas le cas, je le précise en toutes lettres. Pour avoir connu cela dit l’an dernier une parution à peine trois semaines avant le premier confinement (avec La Piste des cendres), je n’ai aucune envie de le vivre de nouveau.

Pour le reste, mon année 2021 risque là encore d’être fort studieuse au niveau de l’écriture, avec un projet à venir pour l’an prochain que je n’ai encore qu’à peine évoqué… Disons juste que je me suis beaucoup documenté ces derniers mois !

Et j’en profite pour vous présenter une dernière fois mes meilleurs vœux !

De retour sur la Piste

Où l’on parle encore d’un certain roman paru chez Critic…
La blogosphère de l’Imaginaire en France ne manque pas de voix dynamiques et variées. Parmi celles-ci, depuis quelques années, le blog d’Apophis a su attirer l’attention, notamment par des prises de position marquées.
A titre personnel, j’apprécie le plus souvent ses chroniques exhaustives même si évidemment, je ne suis pas toujours d’accord avec lui au bout du compte. Mais qui est toujours à 100% sur la même longueur d’onde avec qui que ce soit, surtout quand il est question de romans ?
Apophis s’était déjà chargé de la chronique de La Piste des cendres dans la revue Bifrost, aussi je savais-je que le livre lui avait plu. Mais je ne pensais pas forcément qu’il s’agirait de sa lecture de l’année dans la catégorie “fantasy francophone”, cf la capture ci-contre.
Une nouvelle que j’ai accueillie avec plaisir !
Et merci encore à toutes celles et tous ceux qui ont donné sa chance à ce roman.

Célestopol en fête

Illustration : Marc Simonetti.

Une nouvelle étape a été franchie en début de semaine en prévision de l’arrivée de Célestopol 1922 en librairie, avec bien sûr son annonce publique chez son éditeur, L’Homme Sans Nom, une annonce que vous avez été tout de même nombreux à reprendre, y compris par exemple sur ActuSF.
Merci encore à toutes et tous pour votre soutien !
Aujourd’hui, c’est un texte à découvrir quelques mois avant mars 2021 et la sortie de 1922 qui a eu droit à une petite présentation par l’un des deux co-anthologistes de Années Folles ! Un recueil disponible dès maintenant à la commande chez Rivière Blanche.

Dévoiler enfin la version maquettée de la sublime illustration de Marc Simonetti était un moment spécial pour moi. Et c’est maintenant l’occasion pour moi de pouvoir enfin modifier cette page de présentation en place depuis… un certain temps sur le site !

Et quant à La Piste des cendres, comme je le disais l’autre jour, le roman poursuit son bonhomme de chemin avec notamment un passage dans les colonnes (et les recommandations) de Numerama.

Allo Papa Noël ? La ligne est ouverte !

Décembre est arrivé, et justement les libraires ont rouvert leurs portes…
Comme souvent, la fin de l’année est propice aux bilans et certains s’y prennent très tôt ! Et ça fait bien plaisir de voir figurer La Piste des cendres (mais aussi Célestopol, encore !) dans les premières listes du genre à tomber.
Je pense par exemple à :
- Yuyine
- Uranie
- Un papillon dans la lune
- Les pipelettes en parlent
Ou encore tout bonnement la sélection de Noël d’un site comme Babelio, sans parler des coups de cœur de l’année de la Fnac. Qui sait, ce n’est peut-être qu’un début !
Quoi qu’il en soit, merci encore, ça fait vraiment chaud au cœur, surtout en cette année… pour le moins… compliquée !

AJOUTS DE DECEMBRE :

La Geekosophe
Au Pays des Cave Trolls
Numerama
Albedo Awards
La Bibliothèque d’Aelinel
Top lectures de Xapur

En prime, j’ai aussi été aimablement invité à présenter La Piste justement, sur la chaîne Youtube De quoi ça parle ?
Merci, là aussi !

Stereotypical Working Class et Célestopol

Stereotypical Working Class est un groupe de rock qui a fêté ses 20 ans de carrière en 2019.
Pourquoi je vous en parle sur ce blog ? Eh bien, ce n’est pas dans le cadre de ma “rubrique” Entre deux textes à rendre, mais parce que le nouvel E.P. du groupe vient de sortir aujourd’hui même et que ce mini-album de 5 titres s’intitule… Célestopol.
Et non, ce n’est pas un hasard ! L’an dernier, j’ai eu la surprise d’être contacté par Bertrand, le bassiste du groupe, qui avait lu et, par chance, beaucoup aimé mon recueil. Au point que ce dernier a inspiré au groupe une chanson et même le titre de cet E.P. !
Avant même d’écouter la moindre note du morceau, évidemment, je me suis senti extrêmement flatté. Songer que mes mots avaient pu en inspirer d’autres, que l’univers de Célestopol était parvenu à se montrer suffisamment évocateur pour faire naître une chanson, pas moins… Sincèrement, je ne crois pas que cela soit si courant et j’ai ressenti une émotion rare à l’évocation de ce projet.
Mais une fois écouté le morceau en question, il y a déjà plusieurs mois (Tempus Fugit…), que dire ? Dans sa durée, sa composition, ses paroles, sa dimension intimiste et épique à la fois… C’est bien simple, si j’avais une once de talent (enfin, à vrai dire, bien plus qu’une !) dans le domaine musical, je crois que c’est exactement ce que j’aurais pu ou voulu concevoir. En tout cas, la vision de Stereotypical Working Class est 100% approuvée et même revendiquée par l’auteur, que ce soit dit !
Merci encore à tout le groupe pour sa confiance. Il me semble évident que le duc Nikolaï devrait les déclarer au plus vite citoyens d’honneur de la cité…
Célestopol, l’E.P., est disponible dès maintenant en numérique, en écoute et achat bien sûr. Pour les versions physiques, il faudra en principe attendre le retour des concerts… Et j’ai hâte, c’est un euphémisme !
Ci-dessous, les paroles du morceau.

I’ve worked to build the future from my inner world
I’ve made all sort of plans and it finally works
If I’m telling you my story would you really care?
I’ve built a city on the moon , I’ve made things that no one dare

I must confess what I’ve done I tried to hold the line
I see beauty in the difference , not a modern state of mind
Something in me is undone, I tried to hold the line
all of this mess is undone …

I’m living in this new world but it ‘s full of ghosts
They’re in the walls of buildings and in the regrets of their hosts
If you look upon your poor head you will see no blue sky
Only stars and no one cares about these clouds in your mind

I must confess what i’ve done
All off this mess is undone

Am I something for you
Will you ever try to find, why
I’ve made it all?
Who I really am now

And I’m waiting for who
Will just bring the light
There’s no heat around me now
Stars are cold and all around

If you walk around the city you will understand
There’s so much to learn from difference and we all must learn
You ‘ll meet a bear who’s talking, mechanical men
You may even fall in love and put your heart in iron hands
I will confess what i’ve done I choose to cross the line
My secret is Selenium, it’s no so easy to find…

Am I something for you
Will you ever try to find, why
I’ve made it all?
Who I really am now

And I’m waiting for who
Will just bring the light
There’s no heat around me now
Stars are cold and all around

No one will hear my story
No one would ever try
I’ve tried to build the future and I have crossed the line
But I see beauty in difference
Not an ordinary life
I’ll see the beauty of that will come
Won’t you open up
Won’t you open your eyes

Am I something for you
Will you ever try to find, why
I’ve made it all?
Who i really am now

And I’m waiting for who
Will just bring the light
There’s no heat around me now
All these stars around me…