Stereotypical Working Class est un groupe de rock qui a fêté ses 20 ans de carrière en 2019.
Pourquoi je vous en parle sur ce blog ? Eh bien, ce n’est pas dans le cadre de ma “rubrique” Entre deux textes à rendre, mais parce que le nouvel E.P. du groupe vient de sortir aujourd’hui même et que ce mini-album de 5 titres s’intitule… Célestopol.
Et non, ce n’est pas un hasard ! L’an dernier, j’ai eu la surprise d’être contacté par Bertrand, le bassiste du groupe, qui avait lu et, par chance, beaucoup aimé mon recueil. Au point que ce dernier a inspiré au groupe une chanson et même le titre de cet E.P. !
Avant même d’écouter la moindre note du morceau, évidemment, je me suis senti extrêmement flatté. Songer que mes mots avaient pu en inspirer d’autres, que l’univers de Célestopol était parvenu à se montrer suffisamment évocateur pour faire naître une chanson, pas moins… Sincèrement, je ne crois pas que cela soit si courant et j’ai ressenti une émotion rare à l’évocation de ce projet.
Mais une fois écouté le morceau en question, il y a déjà plusieurs mois (Tempus Fugit…), que dire ? Dans sa durée, sa composition, ses paroles, sa dimension intimiste et épique à la fois… C’est bien simple, si j’avais une once de talent (enfin, à vrai dire, bien plus qu’une !) dans le domaine musical, je crois que c’est exactement ce que j’aurais pu ou voulu concevoir. En tout cas, la vision de Stereotypical Working Class est 100% approuvée et même revendiquée par l’auteur, que ce soit dit !
Merci encore à tout le groupe pour sa confiance. Il me semble évident que le duc Nikolaï devrait les déclarer au plus vite citoyens d’honneur de la cité…
Célestopol, l’E.P., est disponible dès maintenant en numérique, en écoute et achat bien sûr. Pour les versions physiques, il faudra en principe attendre le retour des concerts… Et j’ai hâte, c’est un euphémisme !
Ci-dessous, les paroles du morceau.