Et je continue à parler d'autres choses que de traductions ou de projets persos en ce début de nouvelle année ! :-)
Le livre des choses étranges et nouvelles :
Ma lecture de "SF" annuelle, avec ce roman de Michel Faber, que j'ai quasiment lu d'une traite, ce qui m'arrive finalement de plus en plus rarement, sauf à me forcer dans le but de chroniquer le livre concerné. Je ne connaissais pas cet auteur, si ce n'est à travers l'adaptation de l'un de ces derniers ouvrages, Under the Skin.
Autant dire que je débarquais en terre inconnue, un peu comme notre héros, jeune pasteur envoyé sur une planète lointaine évangéliser un peuple bien différent de nous.
L'auteur brasse des thèmes ma foi (ah, ah) communs, tels que l'amour, la différence, le poids de la culpabilité ou de l'éloignement, à travers de nombreux échanges de lettres où le personnage principal assiste à la lente déliquescence de notre monde à distance, mais quelque chose nous touche, voire fascine. A l'image de la peuplade extraterrestre dont on effleure à peine la riche culture. A découvrir.
Undertale :
Ah, la sensation de fin 2015 en jeu vidéo (après un passage sur Kickstarter), indé ou pas indé.
RPG tout mignon et rétro évoquant RPG 16 bits et surtout la série méconnue Mother, Undertale s'est même vu propulser à la faveur d'un sondage meilleur jeu vidéo de tous les temps (sur GameFaqs). Rien que ça !
Bref, comment résister au rouleau compresseur en marche ? Plutôt bien en fait.
Notre personnage tombé dans le monde des monstres va bien entendu multiplier les rencontres farfelues, avec une bonne dose d'humour et/ou de clins d’œil savamment dosés à l'histoire du genre.
Réputé pour être le RPG que l'on peut terminer sans avoir tué un seul ennemi, Undertale place effectivement ses forces vives ailleurs, mais ne néglige pas ses combats, souvent passionnants. Et même émouvants pour tout dire !
On pourrait aussi mentionner la musique de Toby Fox, la gestion de la progression de l'intrigue, etc, etc...
A jouer !
Queen - A Night at The Odeon :
Un concert old school du Queen du début des années 70, autant dire avec un Freddie Mercury chevelu et non moustachu... Mais quelle énergie, quelle verve !
Ce vinyle tout récent propose deux disques bien rempli et la possibilité de télécharger également une version mp3 du concert, si jamais vous ne pouvez pas trimbaler votre platine partout avec vous comme un véritable hipster.
Que demander de plus ?