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Le Livre des Martyrs : c'est reparti !

Aujourd’hui 26 avril 2019 constitue une date importance puisque pour la première fois depuis plus de 10 ans, un roman inédit de Steven Erikson débarque en librairie en France, à savoir, bien entendu, Les Souvenirs de la Glace, considéré par beaucoup comme l’un des sommets du cycle. Toujours aux éditions Leha, et traduit par Nicolas Merrien.
Mais, il en réalité déjà temps de passer à la suite… et c’est ainsi que j’ai repris à mon tour le collier, pour replonger dans l’univers des Malazéens dès maintenant, avec la traduction du tome 6, The Bonehunters, désormais officiellement lancée !
La parution est prévue pour l’automne… 2020, mais si cela vous paraît loin, n’oubliez pas qu’après le tome 3 et avant le 6, vous aurez les 4 et 5 à lire ! Et de mon côté, vu la longueur du roman, j’ai largement besoin de tout ce temps !
En attendant… bonne lecture des Souvenirs de la Glace !

Couverture de l’édition Subterranean Press.

Ecriture : planning de printemps

Illustration : Ahmed Aldoori

Un projet de roman - ou de recueil - évolue toujours en cours de route. Même en se préparant, en tâchant de se simplifier la vie, il y a toujours des imprévus. Qu’ils concernent le quotidien, ou la phase d’écriture proprement dite, les deux s’associent d’ailleurs souvent.
Ce mois d’avril me voit donc mettre en pause Célestopol 1922 autour de 80% du travail (de premier jet) bouclé (pour me la jouer statistiques à la Brandon Sanderson).
J’ai bien avancé, parfois plus vite que je ne l’aurais cru, parfois moins, et, bien entendu, des nouvelles dont je n’avais pas la moindre idée au moment d’élaborer mon sommaire sont venues se greffer à la table des matières, tandis que d’autres disparaissaient, histoire de faire bonne mesure.
Je continuerai à travailler sur le projet, à la marge, dans les semaines à venir, mais, désormais, place à l’autre gros morceau de mon année 2019 : passer en mode “hisser la grand-voile” pour mon deuxième roman chez Critic, en retournant dans l’univers de L’Empire du Léopard, mais 25 (enfin, 26…) ans plus tard .
Et c’est (re)parti !

Une petite idée de l’ambiance avec ce morceau d’Amon Tobin (y compris jusque dans son titre !).


Célestopol, la présentation de Libretto

Le 2 mai approche !

Et cette fois Célestopol a pris toute sa place sur le site des éditions Libretto, avec notamment une nouvelle quatrième de couverture.
Que dire ? Je la trouve parfaite.
Eh oui, il n’y a pas que Game of Thrones dans la vie ces jours-ci !

Célestopol, cité lunaire de l’empire de Russie, est la ville de toutes les magnificences et de toutes les démesures. Dominée par un duc lui-même extravagant, mégalomane et ambitieux, elle représente, face à une Terre en pleine décadence, le renouveau des arts et la pointe du progrès technologique. On y suit des habitants en quête d’émancipation, rebelles, insoumis – à l’image de la métropole –, qui portent en eux des colères intimes et des fêlures profondes.
Dans ce volume de fantasy d’influence steampunk, l’auteur nous livre un hommage décalé et ambitieux au romantisme slave.
— Libretto

En kiosque : Game of Thrones & la science !

Un petit billet, un de plus cette semaine, pour vous signaler la parution du hors-série, un de plus là aussi, de Science & Vie consacré à la saga Game of Thrones à quelques jours du début de l'ultime saison de la série.
Evidemment, qui dit Science & Vie dit prisme... scientifique ! Mais pourquoi vous parler de celui-ci plus que de ceux de Philosophie Magazine ou de LIRE ? Eh bien, parce que j'ai moi-même participé à ce numéro, bien modestement, mais tout de même ! J'aborde notamment la question des langues dans la série et des projets de séries fantasy à venir, séries qui aimeraient bien reprendre le flambeau de Game of Thrones, évidemment.

Ce fut une expérience somme toute assez "légère" - puisque j'ai officié en tant que pigiste - mais qui m'a permis de me changer du train-train habituel et de renouer avec mes expériences passées dans le domaine des magazines et autres revues (SF Mag, SciFiNow, Bifrost...) !
Le hors-série est disponible dès maintenant un peu partout !

Contrat signé, auteur heureux !

La montagne, ça vous gagne…

Je suis donc arrivé sur Instagram
Et quoi de mieux pour lancer un compte qu’une photo de contrat dûment signé ? Il s’agit de l’officialisation noir sur blanc d’un projet déjà validé, à savoir un nouveau roman chez Critic, à paraître pour février 2020.
Comme j’ai déjà pu le dire ici ou là, il sera situé dans le même univers que L’Empire du Léopard, 26 ans plus tard, mais ce n’est PAS une suite, ni directe, ni indirecte.
S’il est encore bien trop tôt pour rentrer dans les détails de l’histoire - dix mois avant la parution, il y a de quoi tout oublier et je ne vous en voudrais pas ! - voici tout de même un tout petit aperçu, inédit celui-ci.

1896.
Dans les montagnes du Nouveau-Coronado, Azel fuit son destin.
Fils illégitime d'un influent propriétaire terrien venu s'installer dans les plaines d'un Empire renversé par le pouvoir colonial 25 ans plus tôt, le jeune homme a préféré rallier une ruée vers l'orichalque qui a déçu bien des espoirs. Car la magie n'est toujours que légende sur ces terres en proie à des transformations de plus en plus radicales. Azel se contente ainsi de conduire du bétail ou de jouer les chasseurs de primes...

Et une fois de plus, je remercie bien sûr les éditions Critic pour leur confiance !

Entre deux textes à rendre - 17

Il était temps de se lancer dans une nouvelle édition de cette rubrique !

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Pierre de lune :
J’ai tout récemment découvert W. Wilkie Collins, l’ami et rival de Dickens, avec quelques-unes de ses nouvelles, avant d’enchaîner donc avec ce Pierre de lune, présenté comme le premier récit policier moderne. Que dire ? C’est effectivement du très haut niveau, avec un style bien sûr inscrit dans son époque mais encore tout à fait moderne, sans compter les voiles levés sur ce que la bonne société préférerait cacher.

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Feral Roots :
Le sixième album de Rival Sons est disponible depuis quelques semaines maintenant et c’est une bonne petite claque (pour mes oreilles en tout cas). Il me semble qu’on sent un groupe en pleine confiance et sûr de ses moyens, à même de fournir un album entier de morceaux plus flamboyants ou écorchés les uns que les autres.
Et cette pochette…



Conarium :
J’avoue avoir traîné des pieds pour me lancer dans ce jeu en partie à cause de son nom qui en français ne sonne pas forcément très bien…
Dommage : même s’il ne révolutionne pas le genre des walking simulator à tendance horrifique, c’est une plongée réussie dans l’univers de Lovecraft (ici après les Montagnes Hallucinées). Il ne déroge toutefois pas à la règle des jeux réalisés par une petite équipe : c’est court, d’autant que les énigmes ne vous feront pas buter longtemps.