Puis-je faire plus clair comme intitulé ?
Probablement pas !
J’aurai en tout cas le plaisir de vous retrouver ici dans le cadre d’un entretien en direct avec Steampunk.fr, vendredi 4 juin à 20h. Oui, je sais, il fait beau, les terrasses sont ouvertes, mais… rien ne vous empêche de venir m’adresser un petit coucou !
Si vous voulez vous manifester en vue de cette rencontre, vous pouvez le faire via ce lien.
News
Célestopol 1922, J+60 !
Deux mois depuis la sortie en librairie de Célestopol 1922 et je continue à toucher du bois.
Car pour le moment du moins, les retours sont bons, voire oserai-je le dire, excellents. Les chroniques de blogs et les avis de lectrices et lecteurs continuent de tomber régulièrement, l'ouvrage a été à l’honneur dans La Voix du Nord (après Le Monde) encore récemment et quelques autres petites choses se préparent...
Sans oublier un podcast avec Arthur Morgan, où je discute du recueil bien sûr, mais aussi de bien d’autres choses ! Pour le reste, chers libraires, on compte sur vous ! ;)
Ci-contre, la carte de la ville (signée Olivier Sanfilippo), dévoilée officiellement en ligne.
Le Monde
Quand Célestopol 1922 décroche... Le Monde
A défaut de la Lune !
Mais… Même si les colonnes du Monde des livres abordent mine de rien régulièrement l’Imaginaire, c’est la première fois que l’un de mes ouvrages y figure en tout cas. Vous pouvez donc vous faire une petite idée de ma surprise en apprenant la nouvelle jeudi dernier…
Quand on voit à quel point il faut se battre, jour après jour, pour arracher la moindre bribe de visibilité dans un marché de plus en plus concurrentiel, malgré les demandes de ralentissement des parutions qui n’auront guère été entendues… C’est une véritable bouffée d’air frais.
Entre cet article, celui de Numerama ou des chroniques de blog franchement très positives jusqu’à maintenant, je retiens mon souffle. Mais certains titres sont portées aux nues sans se vendre et d’autres ne font pas de bruit et épuisent leur tirage.
Donc, si Célestopol 1922 vous tente, ma fois, n’hésitez plus, il vous attend en librairie !
Et… je vous ai dit que j’avais lancé un Wiki officiel ?
Célestopol 1922 en librairie
Mon nouveau “fix-up” est disponible depuis 15 jours maintenant.
Pourquoi je ne suis pas revenu plus tôt sur cette sortie, pourquoi je n’ai pas “marqué le coup” le jour même, le 18 mars ? Eh bien, pour ceux qui me suivent d’un œil, vous l’aurez peut-être remarqué, mais cette fin de mois de mars fut très chargée.
Avec la “promo” à faire autour de la sortie de 1922 bien sûr, mais aussi un nouveau contrat de traduction à signer (on en reparle), un autre manuscrit à boucler, déjà… Bref, je n’ai pas chômé, croyez-moi !
Mais pour en revenir à Célestopol 1922… Pour commencer, merci. Merci à celles et ceux qui l’attendaient et qui l’ont déjà lu. Merci pour l’accueil qui lui a été fait jusqu’à maintenant. Que ce soit les premières chroniques de la blogosphère, les premiers retours des libraires, ou même maintenant cet article dans Numerama, par exemple… Je n’ai vraiment pas de quoi me plaindre, bien au contraire !
Bien sûr, malheureusement, avec la pandémie de covid-19, tout ce qui est festivals ou invitations en librairie… se révèle, sans surprise, pour le moins compliquée, pour ne pas dire impossible. Mais si vous voulez qu’on se croise, c’est toujours possible, cf le visuel ci-contre… en vidéo ! Le mardi 13 avril, à 20h, L’Homme Sans Nom vous propose de me retrouver sur Zoom pour une petite discussion tout ce qu’il y a de plus informelle et détendue ! Il vous suffit juste de vous inscrire en envoyant un mail à cette adresse créée spécialement pour l’occasion : rencontre.celestopol@protonmail.com.
Et au passage, en parlant “promo”, deux petites vidéos qui pourraient vous intéresser, si vous ne les avez pas vues passer.
Célestopol 1922 : le sommaire détaillé !
Voici une courte présentation de chaque nouvelle.
13 textes, qui s’entremêlent et forment un tout !
En librairie la semaine prochaine, le 18 mars.
Cliquez sur l’image pour l’afficher en grand !
Célestopol 1922 : précommande et... feuilleton !
En espérant bien sûr que ce ne soit pas la date de sortie qui se change en feuilleton !
Toujours est-il que les précommandes sont ouvertes sur le site de l’éditeur depuis mardi, et depuis ce matin, vous pouvez également découvrir la première partie de Une nuit à l’opéra Romanova, l’une des 13 nouvelles qui composent Célestopol 1922.
La première partie ? Eh oui ! Il s’agit de l’une des deux plus longues nouvelles du recueil, et nous avons décidé de la découper en trois pour vous offrir un mini-feuilleton à suivre sur trois semaines !
Autant vous prévenir dès à présent : ce n’est que la première des surprises que l’on vous a préparées pour l’occasion.
Le programme 2021 et...
Comment ça, il était temps ?
Pas faux !
Côté traduction tout d’abord, cette année verra la publication, au mois de mai, de Reaper’s Gale, le tome 7 de la saga de Steven Erikson. Et en principe, une bonne partie de l’année devrait être consacrée à la traduction… du tome 9 ! Eh oui, mine de rien, on approche déjà de la fin de la traduction du cycle (principal), ce qui paraît tout de même… assez phénoménal.
Côté écriture…
Vous l’avez sans doute déjà remarqué si vous me suivez un petit peu ici ou là, mais 2021 marque le grand retour de Célestopol, avec Célestopol 1922 chez L’Homme Sans Nom. En principe, si tout va bien, rendez-vous fin mars !
J’aurai bien sûr l’occasion d’y revenir…
Mais cette année sera aussi l’année de mon retour chez Scrineo, en duo avec Anthelme Hauchecorne, dès le mois d’avril, là aussi en principe. Shusharrah est un roman différent pour moi, clairement porté sur l’Anticipation, avec de nombreuses questions concernant les déplacements de population, les changements climatiques, et bien d’autres sujets.
Mais tout cela concerne les écrits qui devraient arriver sous peu en librairies !
Sous peu, ou pas : vous le savez, le troisième confinement se profile, paraît même inévitable, et dès lors… on pourrait bien se retrouver avec certains décalages. A cette heure, ce n’est pas le cas, je le précise en toutes lettres. Pour avoir connu cela dit l’an dernier une parution à peine trois semaines avant le premier confinement (avec La Piste des cendres), je n’ai aucune envie de le vivre de nouveau.
Pour le reste, mon année 2021 risque là encore d’être fort studieuse au niveau de l’écriture, avec un projet à venir pour l’an prochain que je n’ai encore qu’à peine évoqué… Disons juste que je me suis beaucoup documenté ces derniers mois !
Et j’en profite pour vous présenter une dernière fois mes meilleurs vœux !
Le bilan 2020 : écriture et traduction
Passons tout de suite sur le contexte singulier de cette année 2020, que vous avez sûrement en tête tout autant que moi.
Avant de tourner (enfin) cette page, c'est donc l'heure du bilan.
TRADUCTION :
Une année 2020 sous le sceau de Steven Erikson, comme c'est le cas depuis un petit moment maintenant. Entre les relectures et corrections du tome 6, Les Osseleurs en début d'année (avant sa sortie en octobre) puis, depuis de longs mois déjà, la traduction du tome 7, Reaper’s Gale, à paraître en mai.
Je ne compte plus les millions de signes et les dizaines de cartouches d'encre consommées... Et je salue au passage mon compère Nicolas Merrien en train de plancher sur le 8 de son côté !
ECRITURE :
Evidemment, le gros morceau de l'année, sorti trois semaines avant le premier confinement, fut La Piste des cendres chez Critic.
Il a fallu faire contre mauvaise fortune bon cœur, oublier les salons et autres dédicaces et serrer les dents. Alors, bien sûr, j'espérais autre chose mais je n'ai pas à me plaindre : le roman a été plutôt très bien reçu (histoire de rester les pieds sur terre), les retours nombreux et j'ai même touché de nouvelles plateformes de recommandations, via une interview dans La Voix du Nord au printemps ou sur Numerama ce mois-ci.
Alors, certes, on n'en parle peut-être pas autant que d'autres romans qui ont disposé d'entrée de jeu d'une visibilité tout autre, mais là encore, c'est le jeu et c'est le cas chaque année. Deux ou trois titres semblent attirer toute la lumière. La communication reste un drôle de... eh bien, de jeu justement.
Le printemps, et le confinement, fut également l’occasion de proposer une nouvelle inédite (et gratuite bien sûr) , Le Col et la courtisane, à celles et ceux qui m’ont fait le plaisir de la découvrir.
La fin d'année fut plus calme (mais en musique avec Stereotypical Working Class !) avec une nouvelle parue dans la jolie anthologie de Jérôme Akkouche et Tepthida Hay, Années folles. Une nouvelle dans l'univers de Célestopol, de quoi préparer 2021... ou plutôt un certain 1922 !
Mais ceci est une autre histoire et un autre billet.
De retour sur la Piste
Où l’on parle encore d’un certain roman paru chez Critic…
La blogosphère de l’Imaginaire en France ne manque pas de voix dynamiques et variées. Parmi celles-ci, depuis quelques années, le blog d’Apophis a su attirer l’attention, notamment par des prises de position marquées.
A titre personnel, j’apprécie le plus souvent ses chroniques exhaustives même si évidemment, je ne suis pas toujours d’accord avec lui au bout du compte. Mais qui est toujours à 100% sur la même longueur d’onde avec qui que ce soit, surtout quand il est question de romans ?
Apophis s’était déjà chargé de la chronique de La Piste des cendres dans la revue Bifrost, aussi je savais-je que le livre lui avait plu. Mais je ne pensais pas forcément qu’il s’agirait de sa lecture de l’année dans la catégorie “fantasy francophone”, cf la capture ci-contre.
Une nouvelle que j’ai accueillie avec plaisir !
Et merci encore à toutes celles et tous ceux qui ont donné sa chance à ce roman.
Célestopol en fête
Illustration : Marc Simonetti.
Une nouvelle étape a été franchie en début de semaine en prévision de l’arrivée de Célestopol 1922 en librairie, avec bien sûr son annonce publique chez son éditeur, L’Homme Sans Nom, une annonce que vous avez été tout de même nombreux à reprendre, y compris par exemple sur ActuSF.
Merci encore à toutes et tous pour votre soutien !
Aujourd’hui, c’est un texte à découvrir quelques mois avant mars 2021 et la sortie de 1922 qui a eu droit à une petite présentation par l’un des deux co-anthologistes de Années Folles ! Un recueil disponible dès maintenant à la commande chez Rivière Blanche.
Dévoiler enfin la version maquettée de la sublime illustration de Marc Simonetti était un moment spécial pour moi. Et c’est maintenant l’occasion pour moi de pouvoir enfin modifier cette page de présentation en place depuis… un certain temps sur le site !
Et quant à La Piste des cendres, comme je le disais l’autre jour, le roman poursuit son bonhomme de chemin avec notamment un passage dans les colonnes (et les recommandations) de Numerama.