Et un billet de blog antidaté, un !
Depuis quelques années maintenant, je me livre à cet exercice et je n’ai jamais été aussi en retard sur mes temps de passage. D’ailleurs, d’ordinaire, je sépare le bilan du programme de l’année à venir, mais cette fois-ci, histoire de gagner un peu de temps, non.
Traduction :
Sans surprise, 2021 et 2022 a été et sera placée sous le signe de Steven Erikson et du Livre des Martyrs, avec Le Souffle du Moissonneur paru mi-2021 et La Poussière des souvenirs, à paraître.
Mais 2022, c’est aussi l’arrivée du cycle, dès ce mois de janvier, au format poche, au Livre de Poche, comme j’ai déjà pu vous en avertir ! Les Jardins de la Lune est disponible en librairie, à un prix forcément plus abordable que celui du grand format des éditions Leha.
Je reviendrai plus largement sur cette expérience de longue haleine dans mon billet de l’année prochaine.
Ecriture :
Côté bilan, évidemment, comment ne pas citer Célestopol 1922 (chez l’Homme Sans Nom), et son accueil ? Lectrices, lecteurs, je vous en suis infiniment reconnaissant (sans parler des cartes de tarot ou de la musique de Stereotypical Working Class, certes fin 2020, mais tout de même…). En septembre, dans un autre registre, ce fut le lancement de Shusharrah, co-écrit avec mon camarade Anthelme Hauchecorne, une fable écologique et sociétale assez dure mine de rien, même pour un titre chez Scrineo.
Pour cette année 2022 qui débute… il s’agit comme priorité immédiate de préparer l’arrivée d’Himilce aux éditions Argyll et pour le reste… Disons qu’elle sera clairement marqué par le chiffre 3 !
News
Juillet 2021 : tout n'est pas à l'arrêt !
Eh oui, il faut bien qu’on soit quelques-uns sur le pont, et non pas à faire le pont.
Juillet est toujours un mois assez particulier pour moi, encore plus cette année, avec un anniversaire “symbolique” on va dire. Alors, quand je jette un œil à la chronique de Célestopol 1922 dans le dernier numéro de la revue spécialisée Bifrost '(avec un bout ci-contre), je me dis que, mine de rien, le travail paie.
Pas assez vite si l’on veut, mais au moins, il ne passe pas inaperçu, à l’image aussi de nouveaux coups de cœur libraires.
Pour le reste, vous pouvez aussi me retrouver mentionné ou interrogé en suivant ces deux nouveaux liens :
Le Monde
Quand Célestopol 1922 décroche... Le Monde
A défaut de la Lune !
Mais… Même si les colonnes du Monde des livres abordent mine de rien régulièrement l’Imaginaire, c’est la première fois que l’un de mes ouvrages y figure en tout cas. Vous pouvez donc vous faire une petite idée de ma surprise en apprenant la nouvelle jeudi dernier…
Quand on voit à quel point il faut se battre, jour après jour, pour arracher la moindre bribe de visibilité dans un marché de plus en plus concurrentiel, malgré les demandes de ralentissement des parutions qui n’auront guère été entendues… C’est une véritable bouffée d’air frais.
Entre cet article, celui de Numerama ou des chroniques de blog franchement très positives jusqu’à maintenant, je retiens mon souffle. Mais certains titres sont portées aux nues sans se vendre et d’autres ne font pas de bruit et épuisent leur tirage.
Donc, si Célestopol 1922 vous tente, ma fois, n’hésitez plus, il vous attend en librairie !
Et… je vous ai dit que j’avais lancé un Wiki officiel ?
Célestopol 1922 en librairie
Mon nouveau “fix-up” est disponible depuis 15 jours maintenant.
Pourquoi je ne suis pas revenu plus tôt sur cette sortie, pourquoi je n’ai pas “marqué le coup” le jour même, le 18 mars ? Eh bien, pour ceux qui me suivent d’un œil, vous l’aurez peut-être remarqué, mais cette fin de mois de mars fut très chargée.
Avec la “promo” à faire autour de la sortie de 1922 bien sûr, mais aussi un nouveau contrat de traduction à signer (on en reparle), un autre manuscrit à boucler, déjà… Bref, je n’ai pas chômé, croyez-moi !
Mais pour en revenir à Célestopol 1922… Pour commencer, merci. Merci à celles et ceux qui l’attendaient et qui l’ont déjà lu. Merci pour l’accueil qui lui a été fait jusqu’à maintenant. Que ce soit les premières chroniques de la blogosphère, les premiers retours des libraires, ou même maintenant cet article dans Numerama, par exemple… Je n’ai vraiment pas de quoi me plaindre, bien au contraire !
Bien sûr, malheureusement, avec la pandémie de covid-19, tout ce qui est festivals ou invitations en librairie… se révèle, sans surprise, pour le moins compliquée, pour ne pas dire impossible. Mais si vous voulez qu’on se croise, c’est toujours possible, cf le visuel ci-contre… en vidéo ! Le mardi 13 avril, à 20h, L’Homme Sans Nom vous propose de me retrouver sur Zoom pour une petite discussion tout ce qu’il y a de plus informelle et détendue ! Il vous suffit juste de vous inscrire en envoyant un mail à cette adresse créée spécialement pour l’occasion : rencontre.celestopol@protonmail.com.
Et au passage, en parlant “promo”, deux petites vidéos qui pourraient vous intéresser, si vous ne les avez pas vues passer.
Célestopol 1922 : le sommaire détaillé !
Voici une courte présentation de chaque nouvelle.
13 textes, qui s’entremêlent et forment un tout !
En librairie la semaine prochaine, le 18 mars.
Cliquez sur l’image pour l’afficher en grand !
Célestopol en fête
Illustration : Marc Simonetti.
Une nouvelle étape a été franchie en début de semaine en prévision de l’arrivée de Célestopol 1922 en librairie, avec bien sûr son annonce publique chez son éditeur, L’Homme Sans Nom, une annonce que vous avez été tout de même nombreux à reprendre, y compris par exemple sur ActuSF.
Merci encore à toutes et tous pour votre soutien !
Aujourd’hui, c’est un texte à découvrir quelques mois avant mars 2021 et la sortie de 1922 qui a eu droit à une petite présentation par l’un des deux co-anthologistes de Années Folles ! Un recueil disponible dès maintenant à la commande chez Rivière Blanche.
Dévoiler enfin la version maquettée de la sublime illustration de Marc Simonetti était un moment spécial pour moi. Et c’est maintenant l’occasion pour moi de pouvoir enfin modifier cette page de présentation en place depuis… un certain temps sur le site !
Et quant à La Piste des cendres, comme je le disais l’autre jour, le roman poursuit son bonhomme de chemin avec notamment un passage dans les colonnes (et les recommandations) de Numerama.
Célestopol 1922 : Olivier Sanfilippo se chargera de la carte !
Je l'avais laissé entendre depuis quelques temps pour ne pas dire annoncer clairement, mais Célestopol 1922 proposera une carte de la cité.
Il n'est bien sûr pas encore temps de découvrir cette carte, mais je peux vous donner le nom de l'artiste qui se chargera de la dessiner... Nom déjà donné en titre de ce billet certes, puisqu'il s'agit donc d’Olivier Sanfilippo !
Pour présenter brièvement Olivier, sachez que c’est un rôliste de longue date. Illustrateur et cartographe artistique, récompensé d’un ENnie Award pour la Meilleure cartographie en 2016 ( avec Les Ombres d'Esteren), il travaille dans le milieu professionnel du jeu de rôle depuis plusieurs années. Autant dire que l'on parle d'une véritable pointure dans son domaine, qui a déployé ses talents sur des licences aussi énormes que L'Appel de Cthulhu ou tout récemment Metro 2033, sans parler de projets à succès comme L'Empire des Cerisiers.
Euphémisme, je suis très heureux et même honoré qu'Olivier ait accepté de travailler sur ce projet (nettement moins connu) et de donner vie à sa façon à Célestopol, lui aussi. J'ai à vrai dire plus que hâte de découvrir comment !
Rendez-vous donc dans quelques mois, chez L’Homme Sans Nom !
Célestopol 1922 en 2021
Illustration : Marc Simonetti
Certains l'ont peut-être vu venir car je n'en parlais pas beaucoup dernièrement pour une sortie prévue à la rentrée, mais Célestopol 1922, d'un commun accord avec mon éditeur, a été repoussé à janvier 2021.
Avec la crise de la covid-19, on l'a bien vu et on le voit encore, la situation du monde de l'édition s'est retrouvée totalement chamboulée. Les éditions de L'Homme Sans Nom communiqueront bientôt, mais je peux vous dire que si bien sûr je suis déçu de ne pas vous présenter le recueil plus tôt, il n'en sera que meilleur, je l'espère.
Et puis, qui sait, s'il faut reculer d'un pas pour avancer de deux... mais je n'en dis pas plus !